5 Questions à se poser avant de se lancer dans les places de marché

Vous souhaitez élargir vos canaux de vente en proposant vos produits sur les places de marché ?
Aujourd’hui, il est possible de rivaliser avec les grandes marques de votre secteur sur ces plateformes de vente. Mais avant de se lancer, il est impératif de se poser quelques questions.

 

Une place de marché, pour quoi faire ?

 

Avant toute chose, petite définition. Les places de marché, aussi appelées marketplace, sont des plateformes de vente qui regroupent plusieurs vendeurs et par conséquent une multitude de produits. L’internaute achète ainsi les produits (ou services) du vendeur en passant par l’intermédiaire des places de marché qui récupèrent une commission sur la vente.
Dans un premier temps, même si cela paraît logique pour certains, demandez-vous pour quelles raisons vous souhaitez proposer vos produits sur les marketplace. Il faut vous fixer des objectifs : acquérir de nouveaux clients, une meilleure visibilité, un taux de marge plus intéressant…

 

Vouloir se lancer dans les places de marché, d’accord, mais lesquelles ?

 

Il existe une pléthore de places de marché ayant chacune un positionnement différent et précis. On pense à Amazon, ManoMano, Rue du commerce, Rakuten, Fnac, Auchan, Cdiscount, Ebay, Darty, Auchan et bien d’autres. Elles ont toutes leur spécificité (bricolage pour ManoMano, l’univers de la maison pour Darty, généraliste pour Amazon etc…), et leur clientèle. Sachez qu’il faut pouvoir prouver sa légitimité au sein d’une marketplace. Vous choisissez dans un premier temps sur quelles plateformes vous souhaitez apparaître, mais ce sont les places de marché qui décideront si vous pouvez effectivement les rejoindre. Optez donc pour celle(s) qui correspondra(ont) le mieux à vos positionnements de prix/produit.

5 questions à se poser avant de se lancer dans les places de marché

Le cycle de vente via les places de marché

 

Comment faire un choix sur les produits de mon catalogue ?

 

Sélectionner les produits que vous souhaitez diffuser sur les places de marché est aussi une étape cruciale. Ces choix dépendent de la marketplace, des commissions qu’elle prend sur les ventes, de son positionnement (politique de prix élevés, ou plutôt tirés vers le bas…), de la concurrence présente sur la plateforme, des descriptifs produits… Oui, les descriptifs sont tout aussi importants ; ils doivent rassurer le client et crédibiliser votre marque, voilà un point fort qui peut vous permettre de vous démarquer.

 

En pratique combien cela coûte-t-il ?

 

Évidemment, ce n’est pas gratuit. D’une part, la place de marché requiert un abonnement mensuel fixe qui peut aller de 40 à une centaine d’euros par mois. D’autre part, il vous faudra calculer votre coût variable, dépendant des commissions que s’octroie la marketplace sur vos ventes. Chaque plateforme a ses propres pourcentages de commissions, votre prix de revient sur un même produit peut donc être différent.

Combien de temps demande un lancement sur les places de marché ?

 

Vous pouvez les intégrer à tout moment, à l’occasion d’un lancement de produit ou pour générer plus de ventes, si vous souhaitez davantage de visibilité, si vous voulez avoir plus d’influence à l’international… Mais attention, cela demande beaucoup de temps. A minima deux mois complets non-stop pour le lancement. Il faudra préparer des dossiers complets concernant votre entreprise à présenter aux places de marché : vos chiffres, vos ventes, vos délais de livraison, avec quel transporteur vous travaillez, en bref, c’est la présentation de toute la chaîne, de l’achat à la livraison finale du produit.
Le suivi d’analyse, la gestion des stocks et des commandes (incluant les retours clients !) sans oublier l’ajustement des prix une fois vos produits mis en place vous prendront au moins 4 heures par jour. Il n’y a pas de secret, être performant signifie qu’il faut veiller au grain pour agir au mieux.

 

Points forts et points faibles des marketplace

Voici brièvement les bons côtés et les risques à prendre lorsque l’on se lance dans les places de marché :

☑ Étendre sa visibilité via la réputation et la fiabilité de la marketplace, avec une garantie de trafic

☑ Maîtriser ses coûts, qui dépendent des ventes

☑ Accès et visibilité à l’international plus faciles

☑ Mobile first

☑ Peuvent représenter facilement 10 à 20% du CA d’un commerçant de type TPE – PME

☑ Les places de marché sont les plus gros sites eCommerce

☑ Valeur ajoutée : référencement web optimal

☑ Pour l’internaute, la place de marché représente + de choix, + de comparaison… Elle sert son intérêt

☒ La place de marché peut diffuser certaines de vos informations de votre entreprise : combien de ventes vous avez effectué, etc.

☒ Marge réduite + mensuel fixe à régler à la PDM

☒ Règles contraignantes (ex. : les conditions de ventes, la garantie A à Z Amazon…). C’est plus difficile pour les vendeurs à petite envergure.

☒ Guerre des prix et énormément de concurrence

☒ Clients + fidèles à la markeplace qu’au vendeur en lui-même. La fidélisation est donc plus compliquée.

Vous pouvez compter sur notre équipe d’experts eCommerce et marketplace pour analyser vos ventes, gérer de la meilleure manière votre budget et prendre en main une veille permanente et omniprésente (avis clients, descriptions et caractéristiques produit, ajustement des prix, veille concurrentielle…).
Découvrez également les diverses méthodes de vente et de livraison dans le e-commerce pour vous aider à choisir sur le meilleur moyen pour développer votre entreprise et votre chiffre d’affaires grâce au digital.


N’hésitez pas à nous contacter !

 

Nos compétences :
Prestashop | Magento | Marketing Operationnel | MIRAKL | IZBERG | WIZAPLACE | Statistique | Shopping Flux | Advertising | ERP | Dolibarr | SAP | SAGE | Multicanal | Omnicanal

Posted by asdoria

Créer et mettre en valeur vos visuels produits pour votre eCommerce

Dans le eCommerce, une bonne partie de la décision de l’internaute se joue à sa première impression. Il ne suffit pas d’avoir un site bien référencé pour garantir l’achat de vos produits par les internautes. Parmi tous les paramètres à prendre en compte, il y en a un qui qui pèse particulièrement dans la balance : Les visuels. Les images sur un site sont d’une importance non négligeable. Image d’illustration, photographie de produit ou d’entreprise, pictogramme ou bien même une infographie, tous les visuels que vous mettez en place sur votre site servent aussi à votre référencement et surtout à l’expérience utilisateur. On l’a déjà dit, “une image vaut mille mots”. Un visuel n’est donc pas là par hasard, il doit servir un objectif précis : Inciter au clic, à la lecture, être vecteur d’émotion, susciter la curiosité, favoriser l’achat

Photographie produits : votre arme de séduction principale

Et c’est justement ce point-là que nous allons exploiter. Favoriser l’achat grâce aux photographies de vos produits.
N’oublions pas que dans les cas d’un eCommerce, les visuels de vos produits sont votre arme de séduction principale, ne les négligez donc pas !
C’est bien souvent le tout premier contact qu’a votre internaute avec vos produits/services. La photographie d’un produit, c’est même l’unique référence (en plus de la description) que vous mettez à sa disposition pour s’en faire un avis, à défaut de pouvoir le toucher et de le voir « en vrai ». Inutile, donc, de trafiquer l’image ou de l’embellir en saturant les couleurs. Il vous faut un visuel le plus fidèle possible à l’objet initial afin d’éviter la déception du client qui peut porter préjudice à votre marque et à vos ventes.

La mise en valeur des produits du site Kalembal.com

Rassurer l’internaute pour favoriser l’achat

Les requêtes sur les moteurs de recherche sont toujours nombreuses via la section “images”. Elles représentent près d’un tiers des recherches globales. Il vous est sûrement déjà arrivé d’atterrir sur un site web en ayant cliqué dans un premier temps sur une image non ? Voilà l’importance de prendre soin de TOUS vos visuels. Ils peuvent être une porte d’entrée sur votre site, susciter la curiosité, l’envie dans un premier temps. La qualité des photos et le sérieux de votre site favorisera l’acte d’achat dans un second temps. Pour ce, nous vous conseillons de dédier un intérêt particulier :

  • à la véracité de vos contenus visuels, comme dit précédemment,
  • à présenter un maximum de détails à votre futur acheteur, en photographiant votre produit sous plusieurs angles. Votre cible pourra ainsi avoir l’idée la plus complète de votre produit.
  • Le petit + : N’hésitez pas à intégrer une option de zoom au survol de l’image ou bien une représentation 3D, dans un but de ré-assurance.

 

En pratique comment bien faire ses photographies ?

Le fond blanc

Utiliser un fond blanc, incurvé de préférence pour éviter toute démarcation.
Le fond blanc reflète mieux la lumière sur l’objet, permet de mettre davantage en valeur vos produits et facilite le détourage du produit par la suite. Avec le fond blanc, vous pouvez plus facilement changer la couleur du fond lors du traitement de l’image et l’ajuster à votre convenance.

Le fond blanc incurvé

Ne pas lésiner sur la lumière

C’est bien la lumière qui mettra en valeur votre produit. L’idéal est un ton, une ambiance naturelle, claire. Pour éviter les ombres trop marquées qui dévalorisent le produit, vous pouvez tamiser la lumière en mettant un écran blanc devant la lampe (des écrans professionnels existent, mais un drap blanc ou une feuille blanche dans un premier temps peuvent suffire). Le but est d’adoucir les ombres : il ne faut pas avoir d’ombres nettes, qui sont peu flatteuses pour le produit.
Attention, évitez d’utiliser le flash qui a la fâcheuse tendance d’aplatir les volumes. Nous vous recommandons plutôt d’augmenter la lumière environnante. Petite astuce, si vous utilisez des lumières artificielles : utiliser des ampoules à lumière froide.

À gauche, des photographies ternies par un manque de lumière. À droite, des produits mis en valeur grâce à une luminosité plus travaillée.
À gauche, des photographies ternies par un manque de lumière. À droite, des produits mis en valeur grâce à une luminosité plus travaillée.

Stabiliser pour plus de netteté

Utiliser un trépied pour soutenir l’appareil photo, c’est éviter un maximum le tremblement lors de la prise et avoir une image la plus nette possible. Vous pouvez également utiliser le retardateur de votre appareil photo qui limitera davantage tout mouvement de l’appareil. Une image professionnelle de votre société passe aussi par la qualité de vos photographies et de vos visuels.

On exagère un peu, mais les photos manquant de netteté sont à banir.
On exagère un peu, mais les photos manquant de netteté sont à banir.

Photographier sous tous les angles de vue

L’idée est de prendre l’objet sous tous les angles pour que l’utilisateur puisse se faire une meilleure idée de votre produit global. Cela vous évitera des demandes de retour dues à la déception de certains clients qui estiment que le produit reçu n’est pas conforme au produit vendu. Présenter les produits au plus près de la version réelle originale, authentique.

angles-de-vues-multiples

Homogénéiser les tailles des photographies pour une meilleure échelle

Le cadrage est important pour que l’on puisse se rendre compte de la taille des produits les uns par rapport aux autres. Même si vous indiquez les dimensions de vos produits, l’internaute doit pouvoir se rendre compte que votre perceuse portative est plus petite que votre perforateur burineur ! Prenez soin d’afficher vos photographies au même format pour que l’on puisse se rendre compte de l’échelle de taille des différents produits, en plus des dimensions affichées en description. Vous pouvez également y placer un repère, comme une main qui montre ou qui tient le produit, une personne qui le porte (comme pour des vêtement ou de la maroquinerie…).

les-gants-de-jardinages du site univers-du-pro.fr

L’intégration des visuels sur votre site

Une fois mis en valeur, il vous reste une dernière étape : intégrer les images sur votre site.

Le bon format pour un bon temps de chargement

Un conseil, n’intégrez pas vos images sans réduire leur taille. Le temps de chargement de vos pages est en partie tributaire du poids de vos images. C’est pourquoi nous vous recommandons de réduire la taille à un maximum de 200K, d’opter pour une résolution 72pp, en JPG, PNG ou même en GIF.

L’optimisation SEO, et le compte est bon

Elles comptent elles aussi pour votre référencement naturel, songez donc à bien les renommer et remplir votre balise “alt” (texte alternatif) avec les mots clefs que vous aurez choisi d’insérer dans des phrases cohérentes à but descriptif. Dans les résultats de recherches images qui représentent à elles seules un tiers des requêtes globales sur internet, l’internaute pourra ainsi mieux retrouver l’image en fonction de sa demande et surtout savoir à quoi correspond l’image qui lui est présentée, quel est son contexte.

Le-pulvérisateur-à-batterie-vito-optimisé-grâce-à-une-légende-et-ses-mots-clés

Evidemment, tous ces conseils ne constituent pas une liste exhaustive, mais ils sont la base d’une optimisation de vos photographies produits pour vendre sur votre eCommerce.

vous vous posez des questions en termes de visuels produits, vous souhaitez plus d’informations sur le sujet ou sur le eCommerce en général ?

Contactez-nous !

Posted by Julie Sébille

Pourquoi le Retargeting Dynamique est-il un atout pour votre entreprise ?

Le retargeting (reciblage publicitaire) vous permet de diffuser des annonces auprès des personnes ayant déjà consulté votre site ou utilisé votre application mobile. Grâce au retargeting dynamique, vous pouvez aller plus loin : présenter à ces clients potentiels une annonce personnalisée en fonction de leurs parcours sur votre site. Le message est adapté à l’utilisateur et l’incite à revenir sur votre site pour terminer ce qu’il avait entamé (inscription à une newsletter, finaliser un acte d’achat, télécharger un catalogue, un livre blanc…).

Le retargeting : traquez, analysez, incitez, convertissez

L’intérêt du retargeting dynamique est d’adapter votre contenu publicitaire en fonction du comportement du prospect grâce aux trackers (cookies) installés sur votre site par la plateforme de retargeting. L’idée est d’examiner l’intention de l’internaute sur votre site. Lorsqu’il poursuivra sa navigation sur d’autres blogs, sites web, ou autres URLs,  vous pourrez lui proposer une publicité ciblée qui l’incite à finaliser ce qu’il avait commencé sur votre site.

Le retargeting dynamique : recentrer le prospect sur votre entreprise

Avec cette méthode, vous luttez contre les abandons paniers ou les visites inutiles, favorisez un lead via une inscription, réalisez une vente complémentaire etc… En d’autres termes, le retargeting est une technique pour faire revenir sur son site du trafic qualifié, le but étant de générer plus de leads et de conversions. Prenons par exemple une personne qui a regardé vos produits relatifs aux vernis à ongles. Elle sera davantage intéressée si vous lui proposez une offre spéciale sur sa couleur préférée, ou si vous lui rappelez qu’elle n’a pas finalisé son panier rempli de magnifiques vernis à paillettes tendance.

Un autre exemple de Retargeting Dynamique en Display, pour des bâches de protection.

NB : Retargeting ou Remarketing, le reciblage publicitaire dans les deux cas.

A noter, il est tout à fait possible de créer des campagnes de remarketing (terme employé par Google pour nommer le reciblage publicitaire de ce dernier) via votre compte Google AdWords, qui seront diffusées sur les sites tiers du réseau Google AdSense. Les grands principes du reciblage publicitaire sont donc les mêmes si vous entendez les deux termes : « Retargeting » au sens général, « Remarketing » pour Google.

Le coût par clic ou le coût par mille

Levier d’acquisition au CPC, ou au CPM

Nous ne vous cacherons pas que cette méthode est payante. Mais si le retargeting est aujourd’hui l’un des leviers d’acquisition et de notoriété des plus importants, c’est parce qu’il fonctionne en termes de coût par clic (ou de coût par mille). Vous pouvez donc adapter vos campagnes en fonction des objectifs souhaités, et varier votre coût par clic en fonction du type de prospect, de son comportement ainsi que des types de catégories de produits que vous souhaitez diffuser. Il peut donc s’avérer très rentable quant au coût d’acquisition final !

Les différentes formes du retargeting

Lorsque l’on parle de reciblage publicitaire, on pense souvent à l’affichage des bannières en display (en encart publicitaires disposés sur les différents sites internets). Il existe cependant beaucoup d’autres formes de retargeting dynamique comme :

On-site retargeting : une pop-in apparaît lorsque l’internaute est sur le point de quitter votre site, lui rappelant qu’il n’a pas terminé son panier, ou l’invitant à participer à un jeu concours en s’inscrivant à la newsletter ou en lui offrant une promotion flash pour l’inciter à finaliser son achat rapidement. Cette technique s’avère efficace étant donné qu’elle reste sur votre site, elle n’est pas perçue comme intrusive de la part de l’internaute par rapport à un retargeting off-site.

E-mail retargeting : Cette fois-ci, l’internaute est parti de votre site, et un mail de relance lui est envoyé, lui indiquant les mêmes types d’informations que la pop-in, par exemple. La seule différence est qu’il faut que vous connaissiez le mail de l’internaute, et la data, c’est LA condition sinéquanone pour retargeter. Mais attention ! Acquérir de la data par tous les moyens n’est pas possible. Il faut respecter avec précision le RGPD (Règlement Général de Protection des Données – encore un sujet passionnant, au passage) qui tend à protéger davantage les données des utilisateurs, sous peine de sanctions. Les taux d’ouverture sont d’environ 50% comparé à un spam lambda. Encourageant !

SMS retargeting : Même principe que le mail mais cette fois ci directement sur le téléphone/smartphone de l’internaute. Cette méthode s’avère particulièrement efficace, avec plus de 90% de taux d’ouverture, dans un délai moyen de 2 minutes, face à environ 4 heures pour l’ouverture d’un mail.

Ce qu’Asdoria pense du retargeting

Bien que cette méthode soit un facteur de performance majeur dans le e-commerce, elle n’est pas sans faille. La première est de savoir limiter la diffusion de ses annonces par internaute, pour ne pas lui exposer une pression commerciale trop forte qui créerait tout à fait le scénario inverse. Pour ce, il vous faut une stratégie en Data Marketing solide. La seconde est qu’elle ne permet pas de savoir si le client a toujours besoin du produit dont vous lui vantez les mérites : il peut-être allé comparer sur le web pour mieux pouvoir aller l’acheter dans un magasin tiers. Et ça, vous ne le savez pas.

Face à cette sur-exposition aux publicités, les systèmes de blocage d’annonces sur internet fleurissent aussi de plus en plus, ils interceptent les publicités (notamment en Display) que vous tentez vainement d’envoyer à votre prospect. Voilà pourquoi les retargeting on-site et off-site sont complémentaires et efficaces !

Le retargeting (ou remarketing) dynamique est une solution imparable pour pouvoir envoyer un message de relance à vos prospects dans le but de diminuer vos taux de rebond, et augmenter votre taux de conversion.

Vous avez besoin d’aide ou de conseils en matière d’annonces publicitaires on-site, off-site, display ?

Posted by Julie Sébille

Réussir votre site Responsive Design

Ce n’est plus un secret, nous tendons de plus en plus à une utilisation du web sur mobile. Selon le Crédoc, en 2017, 73% des français possèdent un smartphone et 42% d’entre eux s’en servent en premier lieu pour se connecter à internet. Le monde connecté tient désormais dans notre main. D’ailleurs, depuis avril 2015, Google a même créé un algorithme Mobile Friendly, favorisant les sites internet s’adaptant au format mobile (AMP). En sachant tout cela, il serait bien dommage de ne pas adapter son site en « responsive design » !

La préparation en amont pour réussir son site responsive design

Votre site internet est la vitrine de votre commerce à l’instar d’une boutique physique dans une rue passante, vue autant par des enfants, des adolescents ou des adultes. Du point de vue digital, il en est de même. Le responsive design permet de rendre votre site visible tant sur mobile, que sur tablette, ou sur un desktop classique. C’est un peu plus technique certes, mais rendre son site responsive design, c’est donner une image professionnelle et actuelle de votre entreprise. En s’adaptant au format que vos prospects utilisent pour afficher votre site, vous êtes assuré d’être visible du plus grand nombre quelle que soit la largeur de l’écran sur lequel il est affiché. Pour ce quelques points de préparation sont de mise :

Maquettez

Préparez les maquettes de votre site en fonction des trois formats différents pour y définir les diverses mises en page et les blocs indispensables (ou pas) à conserver en fonction de l’utilisation de vos utilisateurs web. Maintenant que le nombre de connexion sur les sites internet depuis un mobile dépasse les écrans Desktop, les agences créent maintenant les concepts web design en Mobile First, c’est à dire qu’elles mettent en priorité en question l’ergonomie du site Internet en format mobile avant le Desktop.

Simplifiez

Une mise en page de votre site simple, sous forme de différents blocs qui peuvent s’imbriquer de différente manière en fonction de l’espace qui leur est octroyé (adaptation de la barre de menu ou du menu déroulant, des textes à la taille variable pour assurer une bonne visibilité, un zoom qui reste parfait quelque soit le type d’écran…).

Allégez

Veiller au poids de vos visuels, pour qu’ils n’alourdissent pas le temps de chargement de votre site. Les internautes sont impatients et n’attendent pas plus de trois secondes environ avant de changer d’URL si la page sur laquelle ils sont est trop lente.

Cadrez

Mieux vaut définir une taille minimum par support ainsi qu’une taille maximum étant donné le nombre incalculable de tailles d’écrans différents :

  • Smartphones : jusqu’à 425px de large
  • Tablettes : de 426px à 767px de large
  • Ordinateurs portables : de 768px jusqu’à 1388px de large

Les aspects à ne pas négliger :

 

Il reste néanmoins quelques points importants à ne pas laisser de côté, qui optimiseront davantage l’expérience de votre responsive design.

Privilégier le toucher tactile

Le clic n’est pas maître en matière de mobile. Il faut privilégier les scrolls ou même les sliders pour favoriser une meilleure expérience utilisateur.

Minimiser les bannières

Plus l’écran est petit, moins il y a de place pour « la décoration ». Minimisez les espaces dédiés aux bannières pour laisser place à l’essentiel de l’information. Cela ne signifie pas qu’il ne faut pas soigner son design, mais ce qui n’est pas nécessaire en terme de pertinence peut être réduit ou supprimé en format mobile. Un autre exemple : la barre du menu se transformant en « Burger Menu ».

Rendre vos Medias Flexibles

Vos visuels, vos contenus doivent être rendus flexibles, pour s’adapter à la taille de l’écran. Si vous insérez une image de 1000px par 500px et qu’elle ne s’adapte pas à l’écran d’un téléphone mobile, elle débordera de l’espace dédié et rendra votre site totalement illisible.

L’importance des Grilles fluides

Les grilles fluides concernent les contenus et les blocs dans lesquels ils sont contenus – le bloc s’adapte à la taille de l’écran. Vous pouvez essayer en agrandissant et réduisant la fenêtre de votre navigateur desktop. A partir d’une taille max en pixels par exemple, indiquez que vous souhaitez changer la taille de vos blocs ou même leurs emplacements.

L’utilité des Media Queries

Ce sont, entre autres, les media queries qui vous permettent  d’agencer autrement les blocs et les unités. Ainsi, vous pouvez déclarer que vous avez plusieurs tailles et formats d’affichage et que pour chaque taille votre code CSS sera différent (retrouvez nos exemple de feuilles de style CSS dans le paragraphe suivant).

La praticité des Unités Relatives

Les unités relatives permettent de ne pas avoir à définir une taille en fonction de chaque type d’écran mais de définir une unité qui s’adaptera à la taille du bloc. Sans rentrer dans les détails, elle peut être en rem, vh, vn, vw ou en %… Si vous indiquez 100%, votre valeur s’adaptera toujours à 100% de la taille du bloc, quelle que soit l’écran sur lequel il est affiché.) Les unités relatives sont censées s’adapter à tous les cas de figure.

COIN TECHNIQUE :

Comprendre le Responsive Design par le CSS

Quoi de plus parlant qu’un petit tutoriel pour adapter la structure dans votre code CSS pour résulter à un site qui répond aux différents formats sur lequel il peut être affiché. Mais avant de commencer, n’oubliez pas de faire communiquer la feuille de style (style.css) en déclarant dans votre ficher HTML (<LINK rel=stylesheet type=text/css href=style.css>) sinon vous ne pourrez pas voir le résultat de votre travail ! 🙂

Initialisation

Cette étape est utile pour corriger les petits bugs présents par défaut (exemple : les margin ou padding générés quand nous insérons une balise <h1>). Nous supprimons donc ici tous ces « bugs » pour partir d’un bon pied :

Organisation des résolutions du Responsive Design

On définit les règles qui vont rendre votre site internet compatible sur les différents écrans :

Version desktop

Dans un premier temps nous définissons la taille standard du desktop (ici on choisira arbitrairement le nom de class CSS .test-largeur) qui permettra après de définir les différents points de rupture et de proposer un design adapté pour chaque écran (tablette, mobile, voire d’autre) :

Une fois fait, nous allons définir les différentes résolutions avec @media (max-width= XXXpx) {}  afin de personnaliser le comportement et la position des contenus comme on le souhaite pour chaque écran.

Version tablette

Pour la tablette nous définissons un maximum 1024px (@media), nous pouvons par exemple changer la largeur, la couleur du background et la couleur de la police, mais garder toutes les autres propriétés du .test-largeur.

Version mobile

Pour le mobile nous définissons un maximum 768px (@media), nous pouvons par exemple définir la largeur et réinitialiser les margins, mais garder toutes les autres propriétés du .test-largeur.

L’ultime et indispensable étape : la vérification

Alors, vous avez fait le test ? N’oubliez jamais de vérifier ces manipulations sur plusieurs périphériques et supports. Ce sera toujours le meilleur moyen de vous rendre compte de l’efficacité de votre travail et des petites améliorations à apporter sur la visibilité de votre contenu en fonction des formats d’écran d’affichage.

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Posted by Julie Sébille

8 étapes simples pour optimiser la mise en forme de votre contenu WEB

Écrire pour le Web et fortifier votre stratégie de contenus, c’est bien. Mettre vos écrits en valeur en les rendant parfaitement lisibles, c’est encore mieux ! C’est pourquoi nous vous livrons 8 points capitaux pour optimiser la mise en forme de votre contenu et pour permettre une lecture limpide et efficace à vos lecteurs.

1 – Structurez votre contenu avec les balises Heading (Titres)

Avant toute chose, pensez à votre sommaire, qui sera marqué par les balises “heading”. Ces balises permettent non seulement de dynamiser votre contenu en démarquant vos titres des sous-titres, mais de créer une “pyramide de titres” pour Google. Concrètement, les H1, H2, H3… permettent aux GoogleBot de comprendre la structure de votre page et d’en définir l’importance des contenus. Important, donc. Ci dessous, un exemple de structure :

La mise en forme de vos Headings

2 – Un Titre = Une idée

Le visuel précédent vous a mis sur la piste : le titre doit représenter l’idée du paragraphe, son thème, l’axe abordé. Il faut attirer le regard pour susciter ensuite l’intérêt.
Vous devez aller à l’essentiel avec des mots-clés, des titres clairs, précis et accrocheurs.
N’ayez pas peur d’écrire vos titres une fois que le texte est rédigé. Vous verrez plus facilement quelles sont les idées principales qui en ressortent.

3 – Une introduction sans suspens

Ces premières lignes sont essentielles. Elles représentent la base de votre pyramide inversée. En clair, votre introduction doit comporter l’idée de la conclusion. Le cœur du sujet doit être abordé dès ces deux premières lignes pour favoriser l’intérêt. Si elles sont bien ficelées, il y a de fortes chances pour que l’internaute s’aventure un peu plus loin dans votre contenu.
Une fois de plus, elle peut être rédigée à la fin de votre rédaction, comme pour les titres.

4 – Argumentez dans le corps de texte

Dans le corps de texte, vous pouvez enfin développer, rajouter les détails.
Cependant, veillez à ne pas rendre vos paragraphes interminables. On garde toujours en tête qu’il faut se baser sur l’essentiel de l’information. Un paragraphe correspond au sujet évoqué dans son titre, ni plus ni moins ! Pour vous aider, voici un petit guide pour bien rédiger ses contenus.

5 – Une conclusion pleine de promesses

La conclusion est intéressante : vous pouvez y résumer brièvement le contenu précédent profiter pour créer une ouverture plus large, renvoyer sur d’autres articles de votre site, inciter le lecteur à rester sur votre plateforme et à l’explorer.

Attention, veillez toujours à ce que vos liens soient cohérents et pertinents. Mieux vaut insérer peu de liens mais qui aient un réel intérêt pour le lecteur plutôt que de décharger « tout, et n’importe quoi ». En général, au delà de 7 liens, l’action est contre productive.

Profitez aussi de votre conclusion pour faire participer votre lecteur : posez lui des questions ouvertes, cherchez à le faire réagir, en lui demandant son avis par exemple…

En mettant ainsi en avant des informations percutantes pour le lecteur via des liens ou des articles de type « sur le même thème », vous mettrez toutes les chances de votre côté pour favoriser une inscription à une newsletter ou une interaction avec votre lecteur… C’est pourquoi il est important de soigner tous vos contenus et leur mise en forme.

6 – Illustrez vos propos

Et les visuels dans tout ça ? Ils ont, avec les contenus multimédia, un impact considérable.
Car ils permettent de diffuser une part émotionnelle à votre texte. Le public qui s’identifie est deux fois plus réactif. Chez Asdoria, nous disons souvent qu’« une image vaut mille mots ».
N’hésitez donc pas à insérer des visuels à votre texte, cela lui donnera une mise en forme plus dynamique d’une part et lui donnera tout autant de profondeur.
Pour les vidéos, il est désormais plus que conseillé de les sous-titrer ! Ainsi, même les plus pressés pourront y avoir accès même sans écouteurs ou haut-parleurs à proximité.
On privilégiera aussi des mises en pages aérées, propres, beaucoup plus agréable pour la lecture !

7 – Soignez vos balises méta

La méta description, qui est un court résumé de votre article ou page, sera visible sur la page de résultat du moteur de recherche. Sa taille idéale est de 140 à 170 caractères, même si vous pouvez largement dépasser les 200 caractères.

La balise Title joue aussi car elle sera également mise en avant par les moteurs de recherche, en tant que titre de votre page (logique !).
Sachez que vous pouvez les optimiser, pour donner envie et susciter l’intérêt de vos lecteurs afin qu’ils cliquent sur votre lien. Cependant, si vous n’en renseignez aucune, Google se chargera de la remplir pour vous, avec du contenu existant sur votre page.

8 – La relecture est précieuse

La relecture est une étape à elle seule. Il faut prendre le temps de tout relire, de tout tester, de tout vérifier. « Mes redirections fonctionnent elles ? » « Y a-t-il des coquilles dans le texte ? » « Des fautes d’orthographe ? » « Mes images sont-elles au format ? » « Mon contenu est-il responsive ? » …

Toutes ces spécifications sont autant de questions qu’il faut prendre le temps de se poser et de vérifier avant de publier votre contenu. Il est parfois nécessaire de faire une pause et de ré-ouvrir votre fichier un peu plus tard, le temps de prendre un peu de recul. Vous verrez, on voit ainsi les choses différemment que lorsque l’on a le nez dessus des heures durant. Vous pouvez aussi parfaitement le faire relire à une tierce personne, qui verra surement les fautes d’orthographe que vous ne voyez plus, ou des incohérences syntaxiques peut être occultées.

Pour résumer : prenez soin de vos contenus !

  • Organisez les en paragraphes clairs et classés par ordre d’importance,
  • Favorisez le trafic interne de votre site avec le Netlinking pertinent,
  • Dynamisez vos contenus en insérant des visuels et du multimedia en adéquation avec votre charte graphique
  • Apportez une attention particulière à la relecture de vos articles.

Evidemment, vous pouvez aussi observer. Regardez la structure et la mise en forme des articles de vos concurrents, ou du marché.
Et avant toute chose, n’oubliez pas de définir votre charte graphique d’entreprise, guide de vos couleurs, ainsi que votre ligne éditoriale qui représente l’équilibre de votre expression. La rédaction de vos contenus et leur mise en forme sur vos pages seront d’autant plus cohérentes et pertinente si elles sont structurées en amont.

Vous avez un projet ? N’hésitez pas à nous demander conseil :

Posted by Julie Sébille

Les 11 pièges Google AdWords à éviter sur les moteurs de recherche (Search)

On pense souvent que la maîtrise des campagnes AdWords est fastidieuse et bourrée d’énigmes et que seul Indiana Jones serait en mesure de surmonter.
Rassurez-vous ! Nous vous proposons de lire “Les 11 pièges à éviter du Search Google AdWords” pour vous lancer dans l’aventure de l’interface Google AdWords et maîtriser rapidement vos premières campagnes (et sans cheval, ni lasso !).

1 – Les annonces AdWords, c’est quoi ?

Le Search comme son nom l’indique, représente les annonces qui apparaissent en haut de la page de résultats d’un moteur de recherche. Leurs propriétaires payent Google AdWords via un système d’enchères du coût par clic (CPC) pour faire apparaître leurs annonces dans les premiers résultats de recherche. Cependant, il ne suffit pas de définir un budget pour voir ses affaires décoller grâce aux liens sponsorisés du S.E.A (Search Engine Advertizing). Cela peut au contraire s’avérer coûteux et inutile si vos annonces ne sont pas attractives et mal construites.
Il est conseillé dans un premier temps de travailler le S.E.O (Search Engine Optimization ou Référencement Naturel en français, qui est quant à lui gratuit) de son site internet pour avoir un “Quality Score” délivré par Google, de haute qualité.

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2 – A la conception de vos campagnes

PIÈGE 1 – PENSER QU’UN SEUL MOT-CLÉ SUFFIT

Une campagne AdWords doit être constituée de groupes d’annonces contenant plusieurs mots-clés. De ce schéma découleront vos annonces textuelles qui doivent être cohérentes avec leurs mots-clés définis. Et bien évidemment, tous ces groupes d’annonces doivent coïncider avec votre objectif final ! (Acquisition de trafic, augmentation des vente, évolution de la notoriété…)

Il faut ainsi trouver les bons mots-clés, les insérer dans vos annonces en générant des phrases brèves mais précises et attractives pour attirer vos prospects:

– Des mots d’action (découvrez, bénéficiez, imaginez, profitez…)
– Des prix (à partir de…)
– L’annonce d’événements (Black Friday, Promo, Vente Privées, Soldes…)

Il existe des outils de planification de mots-clés qui vous donne des idées de mots-clés à exploiter, ce qui bien souvent peut être une grande source d’inspiration pour vos annonces.

Bien structurer sa campagne Adwords

PIÈGE 2 – NE PAS UTILISER LES EXTENSIONS D’ANNONCES

Numéro de téléphone, localité, avis client, sous menu… sont autant d’extensions d’annonces AdWords gratuites qui ajoutent de la valeur (en terme de visuel, d’attractivité et de précision) à votre annonce textuelle. Exploitez-les et veillez à choisir les bonnes langues d’extensions ! Plus vous serez précis plus vous récolterez du trafic de qualité.

PIÈGE 3 – NE PAS PENSER A SA PAGE DE DESTINATION

En fonction de votre objectif, votre annonce doit renvoyer à la landing page la plus adéquate. Si vous faites une annonce concernant des robes pour le printemps, prenez soin de ne pas renvoyer cette annonce sur les doudounes d’hiver… Vous risquerez fortement de perdre votre prospect, et d’avoir travaillé votre lien sponsorisé pour un bien maigre résultat. Une landing page bien travaillée, propre et attrayante sera vendeuse. Mais c’est un sujet à part entière que nous vous révélerons très prochainement.
Tous ces détails sont cruciaux pour l’élaboration de votre Quality Score, note que Google vous attribue en fonction de la qualité de vos annonces, qui dépendent (entre autres) de la cohérence de vos mots-clés, des pages de destination etc… Plus  le Quality Score de votre compte AdWords est élevé, plus Google privilégiera vos annonces. Raison de plus pour s’appliquer !

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PIÈGE 4 – NE PAS PENSER AU MOBILE

Le nombre d’utilisateurs d’internet sur mobile explose d’année en année. Google privilégie même les formats AMP (affichage mobile). Nous vous recommandons donc d’optimiser ce format pour étendre la visibilité de vos annonces sur le Search.
Lorsque vous définissez vos enchères sur AdWords, vous pouvez choisir de les ajuster en fonction de leur destination. En effet, aujourd’hui 65% des entrées sur un site se font depuis smartphones et tablettes, vous pouvez donc choisir d’augmenter vos enchères uniquement sur les apparitions de vos annonces en provenance d’un format dit mobile. C’est une stratégie qui s’avère la plupart du temps bien efficace !

PIÈGE 5 – FAIRE UNE ANNONCE ADWORDS BASIQUE

Bien souvent lorsqu’on débute, il peut être nécessaire de lancer des campagnes plus classiques pour pouvoir ensuite examiner le comportement des internautes et ajuster la recette au fur et à mesure. Mais avec le temps, n’hésitez plus ! Essayez de vous démarquer avec des annonces vitaminées, qui se dénotent de la concurrence ! Dans tous les cas, soyez précis sur le sujet de votre annonce, pour éviter les clics inutiles (et donc d’augmenter vos dépenses). Pensez au call to action, dévoilez votre atout majeur, localisez votre annonce…

PIÈGE 6 – NE PAS CIBLER SES ANNONCES ET NE PAS DÉFINIR DE ZONE DE DIFFUSION

Si vous visez des prospects dans le Sud Ouest, il vous est inutile de générer une annonce touchant la France entière. Au niveau de vos prospects, si vous cherchez à acquérir des nouveaux clients masculins entre 18 et 25 ans par exemple, définissez le ciblage immédiatement !

PIÈGE 7 – NE PAS PRENDRE EN COMPTE LES TYPES DE REQUÊTE :

Il existe 5 différents types de requêtes : Large, large modifiée, expression exacte, mot clé à exclure… Le piège lorsque l’on ne connait pas leurs spécificités et qu’on ne les prend pas en compte, c’est que vos mots-clés seront définis selon un critère de requête large par défaut. La requête large signifie que le moteur de recherche prendra en compte même les demandes des internautes contenant des fautes d’orthographe et qui sont similaires ou synonymes à vos mots-clés définis. Si vous vous êtes positionné sur Voiture hybride citadine, l’internaute pourra avoir accès à votre annonce même s’il tape Auto rouge hibryde pour la ville.

Certes, cette technique permet de ne pas avoir d’ a priori sur les mots-clés utilisés, et d’être présent sur une très grande étendue de requêtes. Lorsque l’on débute dans les campagnes AdWords, on peut viser large dans un premier temps puis exclure petit à petit les mots-clés peu efficaces, pour maîtriser la qualité de vos campagnes dans le temps. Il faudra donc les suivre et les analyser constamment ! L’inconvénient de la requête large est qu’elle ne vous apporte pas forcément du trafic qualifié, ce qui peut engendrer une consommation rapide de votre budget sans retour sur investissement (ROI). Soyez donc vigilant, ou optez pour les autres types de requêtes en fonction de vos objectifs.

3 – Avant la diffusion de votre annonce sur le moteur de recherche Google

PIÈGE 8 – DÉFINIR DES ENCHÈRES AU HASARD

Il existe plusieurs manières de définir vos enchères. De manière automatique, AdWords définira vos mots-clés en fonction de vos objectifs, du classement de votre compte AdWords, de votre cible, de votre budget… pour essayer d’optimiser au maximum vos annonces en fonction de ces critères. Le prix des enchères de vos annonces est donc variable en fonction de tous ces paramètres et de la concurrence des mots-clés.
Vous pouvez aussi définir vos enchères de manière totalement manuelle, en vous aidant de plusieurs outils, comme l’outil de planification de vos mots-clés, qui vous permet d’avoir un regard sur les estimations basses et hautes des enchères en fonction d’un mot-clé et de sa popularité. Lors d’un lancement,

  • Si votre annonce est parfaite mais que vous avez sous-estimé le prix du coût par clic (CPC), votre position dans les résultats ne sera pas digne du travail fournit et vos concurrents seront très certainement devant vous.
  • Si vous avez sur-estimé votre CPC, vous risquez de payer une fortune pour un trafic pas forcément qualifié qui générera un énorme taux de rebond traduit par des clics inutiles qui vous coûteront cher.

PIÈGE 9 – NE PAS TESTER VOS ANNONCES

Testez vos annonces AdWords avec un A/B testing avant par exemple, pour pouvoir mesurer l’efficacité de vos mots-clés ou de la formulation de vos phrases. Vous pourrez ainsi en déduire quelle est la meilleure annonce ou groupe d’annonces pour votre campagne en fonction de vos cibles. Ce modèle sera à privilégier lors d’une seconde campagne pour, au fur et à mesure, trouver la “recette” parfaite.

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4 – Une fois vos campagnes publiées, analysez et optimisez-les !

PIÈGE 10 –  NE PAS UTILISER LE REMARKETING

Rien de mieux que de (re)proposer votre site internet auprès d’un internaute l’ayant déjà visité, vu vos produits, ou ayant aimé vos vidéos. Les personnes qui recherchent de l’information sont susceptibles d’acheter un produit dans l’heure ou dans les quelques jours qui suivent. Autant être présent quand ils sont prêts à faire l’achat ! D’où l’importance d’utiliser le remarketing. Qu’il soit standard ou dynamique, il vous permet d’augmenter votre visibilité auprès de contacts qualifiés (leads). Vous transformerez plus facilement vos prospects en clients.

PIEGE 11 – NE PAS ANALYSER CORRECTEMENT LES RÉSULTATS DE VOS CAMPAGNES ADWORDS

Créer ses campagnes sans ensuite les analyser et suivre leur performance une fois publiées est une grande erreur. Il est important de suivre ses actions de référencement payant grâce à des codes de suivi conversion pour en déduire les mots-clés et les annonces les plus performants, le taux d’acquisition, de rebond, ainsi que les groupes d’annonces ayant été les plus intéressants en formation de leads. En fonction de votre cible vous pourrez ainsi déterminer pour de prochaines campagnes et groupes d’annonces ce qui fonctionne le mieux en terme de contenu, de mot clé, de visuel etc… Liez votre compte AdWords à votre compte Analytics et traquez les provenances de vos visites !

 

Tout compte fait, il n’est pas si compliqué de créer vos campagnes Google AdWords pour être visible sur le Search (donc, les moteurs de recherche). Indiana Jones peut retourner à ses missions périlleuses dans la jungle ! Cependant, dès lors que l’on souhaite optimiser davantage ses coûts, être de plus en plus stratégique et devenir toujours plus performant, la tâche se complexifie et peut se transformer en un vrai charabia. C’est pourquoi notre agence spécialisée vous accompagne dans chacun de vos projet et nous nous adaptons à tous vos besoins.
Si vous souhaitez plus d’informations sur Google AdWords en général, vous pouvez vous rendre sur leur site, qui explique aussi très bien leur fonctionnement.

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Posted by Julie Sébille

Bien rédiger vos contenus Web – les points clés –

Beaucoup d’entreprises souhaitent mettre en place un programme éditorial et rédiger sur le web des articles permettant de faire valoir leur expertise en partageant des sujets intéressants concernant leur secteur d’activité par exemple… Mais encore faut-il savoir produire des contenus captivants et structurés pour pouvoir développer sa visibilité. Vous l’avez compris, rédiger pour le web nécessite le respect de quelques règles essentielles. Voici quelques conseils pour mettre en valeur vos écrits et avoir une bonne et performante méthode de rédaction Web.


 

Une structure éditoriale en entonnoir inversé


Ces étapes sont à prendre en compte après avoir établi votre stratégie de communication web, en ayant au préalable réfléchi et fixé votre ligne éditoriale.
Une fois cette démarche préétablie, vous aller entrer directement dans l’élaboration de vos premier contenus. La priorité va être de capter l’attention du lecteur.

Limiter le suspens

L’entonnoir (ou pyramide) inversé, est simplement le fait de dévoiler le plus important du contenu dans les première lignes. Fini le suspens façon Agatha Christie. Sur le Web, l’internaute veut tout, tout de suite. On part donc du plus important, de l’information en elle-même, au plus minutieux. Pour reprendre l’image du thriller, on commencerait donc par annoncer qui est le coupable, puis qui est la victime avant de raconter l’histoire plus en détail.

Soignez vos messages

Il faut être clair et précis en utilisant les bons termes, sans rentrer dans le jargon. Bien souvent un lecteur qui ne comprend pas ce qu’il lit ira chercher l’information simplifiée ailleurs.

 

N’oubliez jamais le référencement naturel (S.E.O)

 

Une histoire de mots-clés

Vis-à-vis du référencement Google, il est important d’insérer les bons mots ou expressions -clés. A l’ère où Google trouve des réponses à quasiment toutes les questions les plus farfelues soient-elles, il est important de cerner directement les mots-clés de votre page/texte/sujet, pour être bien référencé par Google. Evidemment, trouver le ou les mots-clés n’est pas synonyme d’un référencement parfait et ultra optimisé, mais c’est un point essentiel et déterminant! Ils doivent prendre en compte l’intention de l’internaute.
Soyez attrayant en travaillant vos titres (balise “title”) et les méta-descriptions ! Bien que la méta-description ne soit plus un critère déterminant de votre position dans l’apparition des résultats des moteurs de recherche elle reste intéressante car elle incite au clic.

Privilégiez la qualité à la quantité

Le référencement dépend aussi de la qualité, de la pertinence de votre contenu, de sa longueur, de sa cohérence, et des critères d’évaluation des GoogleBot (C’est le nom qu’on donne aux robots de Google qui scannent les sites et pages web pour les référencer). Par exemple, un contenu interminable qui ne contient aucun mot-clé n’aura pas les mêmes résultats qu’un contenu plus bref mais agrémenté des bons mots-clés aux bons endroits

Ce qu’il faut retenir, c’est que lorsque l’utilisateur tapera sa demande, si votre mot-clé n’est pas défini, vous n’aurez aucune chance (ou vraiment peu) d’apparaître dans les premiers résultats annoncés par Google. Il serait pourtant bien dommage de s’en priver, sachant que la grande majorité des internautes (92% précisément) ne daigne même pas s’aventurer au delà de la première page de résultats de leur moteur de recherche !


 

Adaptez toujours votre contenu au sujet et au support

 

Être lisible partout : Du mobile au desktop

Pensez à faciliter la lecture pour l’internaute. Vous devez être lisible et attrayant. Soignez vos landing pages, pour inciter le lecteur à y rester ou parcourir davantage votre site.
N’oubliez pas d’adapter le contenu au format dans lequel il sera lu : c’est à dire aux affichages mobiles, aux tablettes, … c’est ce qu’on appelle le « responsive design ». Sachez que désormais Google favorise les contenus AMP (Accelerated Mobile Page). Lorsque l’on sait qu’en 2017, 1 internaute sur 5 ne se sert que de son mobile ou de sa tablette pour naviguer sur le web, il devient évident que le mobile est l’usage d’internet de demain.

Adaptez vous aux supports

Enfin, la manière de communiquer sur le Web diffère aussi du support que vous utilisez. Les réseaux sociaux permettent de s’exprimer différemment, un blog peut avoir une intonation solennelle ou plutôt légère, se permettre des articles de plus grande envergure tandis que Twitter vous demande d’être concis, bien que l’application ait doublé sa capacité de caractères dans ses posts. Instagram privilégie les visuels, LinkedIn est axé sur le réseautage entrepreneurial… Vous l’avez compris, chaque réseau social a sa spécificité, il faut donc choisir le(s) plus pertinent(s) pour votre communication.

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Posted by Julie Sébille

Comment bien choisir la ligne éditoriale de votre rédaction web

Bien rédiger pour le Web ne s’arrête pas simplement au fait d’écrire de belles phrases. Il faut prendre en considération des facteurs qui diffèrent bien de la rédaction classique dite « print », comme les contraintes du référencement, ou le comportement de lecture d’un individu sur internet.

 

Écrire pour les lecteurs et leurs attentes

 

Pour commencer, il faut savoir que le comportement de l’internaute face à un contenu web est bien différent que face à un support papier. Concrètement,

  • Seulement 20% des lecteurs vont aller sous la ligne de flottaison, c’est-à-dire sous la phrase d’introduction.
  • Parmi ceux-là, 81% iront lire le premier paragraphe
  • et 32% le 4ème.

En clair, l’internaute va survoler votre contenu. Il est donc important et primordial de définir au préalable la cible que vous souhaitez toucher et la manière dont vous voulez communiquer avec elle, pour être le plus efficace possible et capter aisément son intérêt.

Rédiger pour le Web est essentiel pour votre référencement et l'amélioration de votre notoriété spontannée

Rédiger pour le Web est essentiel pour votre référencement et l’amélioration de votre notoriété spontanée

 

Définir sa ligne de conduite éditoriale en 5 étapes

 

Vous devez dans un premier temps vous poser quelques questions essentielles avant de commencer votre rédaction. Elles constitueront votre objectif, votre fil rouge.

1 – Comprendre qui sont vos cibles commerciales

Vous vous adressez plutôt à des entreprises (BtoB) ou plutôt des clients finaux (BtoC) ? Quelle tranche d’âge ont – ils ? A quelle catégorie socioprofessionnelle appartiennent-ils ?

2 – Définir les thèmes à aborder et s’adresser à ses cibles

Vous souhaitez parler des actualités de votre domaine d’activité, celle de vos partenaires, ou bien démontrer votre savoir-faire ? Vous devez définir le type de contenus que vous voulez partager et le ton que vous allez adopter.

3 – Identifier les supports pertinents pour communiquer

Blogs, réseaux sociaux, sites partenaires, publireportages, sites en propre ou spécifiques, destination mobile, desktop…

4 – Trouver les meilleurs moments pour votre prise de parole

Il faut organiser votre planning de publication par rapport à vos objectifs : sur 6 mois, un an, ou une opération de communication. La fréquence implique aussi les meilleurs moments stratégiques pour publier. Par exemple, les heures de pointe sur les réseaux, ou les événements plus généraux comme les opérations commerciales de grande envergure (soldes, Black Friday…).

5 – Et surtout pourquoi

Dans quel but souhaitez-vous rédiger : Pour générer plus de trafic sur votre site, pour accroître vos prospects et développer des intentions d’achat, pour augmenter une communauté qualifiée sur les réseaux sociaux et élargir votre réseau d’influence, amplifier votre chiffre d’affaires sur le long terme… car vous devez aussi réfléchir en terme d’objectif de rentabilité !

Pour aller plus loin, la charte éditoriale

 

Pour les plus grosses entreprises, où plusieurs personnes seront amenées à publier du contenu, vous pouvez créer un document de référence concernant votre communication sur le web et votre stratégie de contenu. C’est la charte éditoriale. Elle répertorie plusieurs points cruciaux, pour que vos publications soient toujours cohérentes avec vos attentes initiales et les cibles que vous souhaitez toucher.

 

L’équilibre de votre expression

 

Établir votre ligne éditoriale est essentiel pour s’exprimer naturellement à l’écrit en fonction d’un sujet, de sa cible et du message de marque de son entreprise. Trouver un équilibre entre les règles de la rédaction web et le style du message à faire passer peut prendre du temps. D’autant plus que le client évolue et que les entreprises doivent sans cesse faire preuve d’imagination sans pour autant perdre leurs objectifs finaux : vendre leurs produits et/ou valoriser leur entreprise (leurs services) auprès du public.

Posted by asdoria

Les bases du SEO, pour bien commencer 2018 sur les moteurs de recherches

En 2018, le référencement naturel (SEO) reste encore un levier essentiel de la visibilité de vos services et produits sur le web. Même si certaines entreprises paraissent indétrônables sur le web, le SEO permet de contrebalancer la tendance en donnant une chance à peu près égale à toutes les sociétés. Et à la différence de beaucoup d’autres leviers marketing, le référencement naturel est gratuit ou presque… Si vous avez les compétences techniques et rédactionnelles, il vous coûtera seulement du temps pour optimiser le plus possible vos contenus destinés aux clients potentiels. À vous de montrer à Google que vous n’avez pas seulement un site magnifique mais que vous êtes une référence dans votre domaine.

Comment fonctionne le référencement naturel

 

Mais alors comment améliorer la position de ses articles dans Google et autres moteurs de recherche ? Il faut savoir qu’un article doit être écrit pour :

  • Des cibles (internautes) qui vont être séduites par le sujet de vos articles et par la manière dont vous les avez écrits.
  • Google et autres moteurs de recherche qui lisent les contenus de votre page (le « Crawl ») et vont positionner l’article grâce à un algorithme (jalousement secret) qui va calculer sa pertinence selon les requêtes des internautes.

Et même si Google est devenu sémantique, il est nécessaire d’adapter votre contenu à certaines contraintes de son langage. Jongler entre le contenu utilisateur et le langage des moteurs de recherche dans la rédaction de son article est d’une importance cruciale.

Les bonnes pratiques des entreprises pour optimiser leur référencement naturel

 

Pour vous faciliter la tâche, nous avons répertorié les étapes de base du SEO à destination des entreprises. Lancez-vous pour grignoter petit à petit une position de plus en plus importante dans les résultats soumis aux internautes.

1 – Spécialisez votre secteur d’activité

Internet est vaste et la concurrence est rude. Il sera plus simple pour les entreprises de se focaliser sur leur expertise. Même si avec la spécialisation de votre contenu vous toucherez moins de clients potentiels, il faut se dire qu’ainsi, vous aurez plus de chance de vous démarquer et de toucher des prospects de qualité. Il va de même pour le référencement local, n’essayez pas de concurrencer les grandes entreprises multinationales : privilégiez dans un premier temps l’optimisation votre référencement local.

2 – Définir une stratégie « mots-clés »

Trouvez les clés qui vont ouvrir les portes de Google… Vous avez compris l’intérêt de spécialiser son contenu sur le web, il faut maintenant optimiser sa visibilité avec des mots-clés pertinents dans les articles. Mais comment les choisir ? L’outil de planification de mots-clefs développé par Google, nommé Keyword Planner, vous permettra de trouver les termes les plus performants en fonction du nombre de recherches réellement effectuées par les internautes. Trouvez votre positionnement sémantique et mettez vos mots-clés dans le titre de votre page ou article.

 

3 – Balisage de votre page

Structurez vos textes et vos balises H1, H2, H3, UL …. Un seul titre H1 par page et des sous-titres H2, H3 en dessous. Dans un site internet développé SEO Friendly, les balises doivent être clairement identifiables par les moteurs de recherche.

4 – Rédaction pertinente et qualitative

Améliorez la pertinence des contenus de votre page web pour attirer toujours plus d’internautes et les convertir en clients. Certaines entreprises adoptent une charte éditoriale pour cadrer les sujets et qui définit les bonnes pratiques de « comment écrire sur le web ».

5 – Liens Netlinking

Intégrez vos sites et vos contenus sur la toile pour favoriser le maillage de vos liens internes (entre vos pages et vos articles) et de vos liens externes qui facilitent la navigation globale sur le web.

6 – Visibilité de la page dans les moteurs de recherches

Structurez les contenus pour susciter l’envie de cliquer sur votre site depuis les moteurs de recherche.

  • Titre SEO : Le titre perd de plus en plus d’importance pour le référencement mais il est néanmoins indispensable pour capter l’attention des visiteurs dans les résultats de recherche. Le titre doit être unique. Entre 65 et 75 caractères.
  • Méta-description SEO : Rédigez une méta-description cohérente avec votre page. Il s’agit d’une brève description qui est primordiale pour augmenter le nombre de clics sur votre article et qui vient compléter l’action du titre. Les 160 premiers caractères sont visibles.

7 – Travaillez le référencement de vos images

Renseignez les balises « alt » dans les images insérées. Un titre et une légende sont toujours les bienvenus pour accompagner vos images à la lecture de votre article (vous aurez aussi de la visibilité depuis Google image !).

8 – Pensez Mobile-first

Depuis 2015 Google pénalise les sites internet qui ne s’adaptent pas au format mobile. Autant vous dire que pour se lancer dans le SEO, la base est d’avoir un site internet en « responsive design » qui va s’adapter à l’appareil avec lequel l’internaute se connecte.

9 – Chargement de la page

Google et autres moteurs de recherche recalent les sites trop lents. Il est donc important d’alléger au maximum les photos et les vidéos qui pourraient alourdir le chargement des pages. Notre ami Google aime bien le simple et efficace !.

10 – Partage sur les canaux

Publiez vos articles sur les réseaux sociaux et variez les descriptions lors des partages. Faites-vous voir et créez du trafic sur votre page/ site car vous capitaliserez votre notoriété et ça, les moteurs de recherche en raffolent.

En conclusion, travaillez votre notoriété digitale !

 

L’objectif pour le SEO est de gagner en notoriété. Un travail de qualité sur les contenus, le netlinking, la rapidité de chargement de pages, etc… permettra aux pages d’augmenter leur notoriété auprès des moteurs de recherche. Plus vous serez connu, plus le site et les articles seront classés dans le « Top position ». Cependant ce travail portera ses fruits sur plusieurs semaines voire plusieurs mois. Certaines entreprises n’ont pas le temps d’attendre car le temps, c’est de l’argent. Nous leur conseillons d’associer un minimum de budget en parallèle pour lancer des campagnes payantes sur internet (SEA) pour dégager des résultats plus rapides.

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Posted by asdoria