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L’incroyable essor de Cdiscount, la place de marché made in France

Vous avez certainement déjà entendu parler de Cdiscount . Vous vous demandez peut-être encore ce que c’est ? Asdoria vous propose de retracer l’incroyable histoire du numéro 1 français du e-commerce;, à la deuxième place mondiale derrière Amazon. Cette place de leader français proposant de multiples produits et services n’a pas été atteinte en un jour, elle est plutôt le fruit d’un long travail acharné. Retour sur l’incroyable essor de Cdiscount, la place de marché made in France.

L’histoire de Cdiscount : au commencement, la culture pour tous

Cdiscount à la base, c’est quoi ? C’est une boutique en ligne créée en 1998 par les trois frères Charle, afin de vendre des produits culturels à des prix imbattables. Un choix tourné vers l’e-commerce. Le plus étonnant est qu’au début de leurs activités, leur site est tourné uniquement autour de la vente de CDs et DVDs, un choix peu diversifié, mais à des prix plus bas que ceux de la concurrence. L’objectif ? Rendre la culture accessible à tous.
D’année en année, la demande n’a cessé de se diversifier et Cdiscount l’a bien compris en suivant les tendances au point de passer du vendeur en ligne de CD et DVD au numéro 1 du e-commerce en France. Mais le représentant e-commerce français actuel est-il arrivé à ce stade tout seul ?

Le rachat de Cdiscount par le groupe Casino

Revenons sur l’histoire du rachat de Cdiscount . C’est dans les années 2000 que le Groupe Casino, ayant repéré le potentiel de la plateforme, décide de devenir actionnaire (investissement et détention des parts sociales) de l’entreprise et de racheter 60 % de son capital. À cette époque et malgré l’investissement conséquent du groupe Casino, les 3 frères Charle restent toujours à la tête de Cdiscount en tant que décisionnaires des choix stratégiques et dans la gestion globale de l’entreprise.

En 2008, le groupe Casino ne peut passer à côté du potentiel grandissant de Cdiscount, et obtient 79.6% du capital de la firme, s’accompagnant de la création d’un conseil d’administration créé avec des représentants de la marque actionnaire.

L’essor de Cdiscount avec C le Marché

Les années suivantes s’avèrent décisives. Notamment 2011, qui marque définitivement un tournant pour ce néo-géant du e-commerce. C’est en janvier que la détention par Casino du capital Cdiscount fut quasi-totale, en rachetant la participation des trois frères Charle (participation directe et indirecte de 99.6 %). La même année, au mois de septembre, Cdiscount lance la marketplace : « C le marché », qui permet aux vendeurs sélectionnés de disposer d’une interface en ligne pour gérer de façon autonome leur activité. C le marché n’est autre que l’ancêtre de “Cdiscount marketplace” ! Mais pourquoi créer une marketplace ? À ce moment-là, l’objectif de Cdiscount est d’élargir son offre et de trouver de nouvelles sources de revenus. La place de marché, de par sa diversité de produits proposés et des différents horizons des vendeurs s’avère être la stratégie parfaite. L’offre marketplace Cdiscount est désormais ouverte à tous, particuliers comme professionnels.
Un peu plus tard en 2014, Cdiscount est à l’heure de la création (encore) ! Le groupe Casino ayant déjà deux groupes de distribution, GPA et Groupe Exito au Brésil et Colombie, décide de créer Cnova, afin de regrouper l’ensemble de ses activités de commerce en ligne en France et à l’international, toujours dans l’objectif d’accroître la popularité de Cdiscount. Mais suite au ralentissement des activités en Amérique Latine dû à une affaire de fraude, Cnova décide de se concentrer uniquement sur Cdiscount et son marché à haut potentiel Français !

Développement de la gamme de produits chez Cdiscount

Après son développement dans les produits de l’électroménager, le vin, l’ameublement et la décoration, ou bien encore les jeux et produits bébé en 2016, Cdiscount n’en est qu’au début de l’élargissement de ses services. En cinq ans seulement, une offre de service mobile suivie d’une offre d’électricité, de voyage, de santé, et de l’automobile d’occasion font leur apparition sur le site. Et la plateforme ne s’arrête pas là : en 2018, un nouvel entrepôt de 60 000 m2 est créé à Andrézieux-Bouthéon. La même année, Cdiscount rachète le spécialiste de la vente de pneus en ligne 1001pneus. Mais pas seulement ! Elle rachète également Stootie, une plateforme communautaire réservée à la personne.

Cdiscount, un succès à la Française

Qui ne rêve pas d’un tel essor ? D’abord concentrée uniquement dans la vente de CD et DVD, la start-up bordelaise prône en 2020 un chiffre d’affaires d’environ 2.2 Milliards d’euros. La synergie entre la plateforme et le groupe Casino (qui avait déjà bien de l’expérience dans le secteur de la distribution) s’est avérée être fructueuse dans l’acquisition et dans le développement de cette notoriété solide. Au fil des années, Cdiscount a élargi ses offres en intégrant différents types de produits dans son catalogue tels que les produits culturels, multimédia, hightech, informatique, électroménager, équipement de la maison, jeux vidéo et encore d’autres.

Déjà, fin,  2010 ce sont tous les magasins Casino qui avaient en leur possession un point de retrait Cdiscount  (toujours dans leur stratégie de proximité avec leurs clients, malin). En dehors des deux magasins physiques et du supermarché dont dispose le site e-commerce en France, il s’est lancé dans la distribution par Internet de services connexes comme l’assurance, le financement, la carte de paiement Mastercard, etc.
En bref, une expansion qui tient encore bien ses promesses

Asdoria la dedans ?

Chez Asdoria, nous maîtrisons toute la chaîne du e-commerce depuis plus de douze ans. Nous vous aidons, vous accompagnons, dans vos activités et notamment en vous servant des marketplaces ! Vous avez besoin davantage de conseils pour votre stratégie commerciale et Webmarketing ? Quels que soient vos objectifs, nous sommes là pour vous aider !

Posted by Julie Sébille

Retour sur le rachat de Prestashop par MBE Worldwide

L’un des temps forts de la fin d’année 2021 a été, dans le monde du commerce en ligne, le rachat du célèbre éditeur de sites e-commerce Prestashop par le groupe italien MBE Worldwide. La société italienne détient à son actif de nombreuses solutions numériques telles que Mail Boxes, AlphaGraphics, PostNet, Spedingo.com, Print Speak, Pack & Send, et Multicopy, pour ainsi exploiter aisément les domaines numériques de l’expédition, de la logistique, du marketing, de l’e-commerce et de l’impression. Avec l’acquisition de Prestashop, MBE Worldwide s’offre ainsi l’outil capable de développer et d’administrer facilement des sites marchands afin de compléter sa gamme de solutions numériques et d’exploiter le marché de la vente en ligne sur toutes ses faces.

Prestashop, leader en Europe et Amérique Latine

Le français Prestashop a incontestablement marqué un tournant dans l’histoire du e-commerce depuis 2007 avec sa solution de développement de sites de vente en ligne personnalisable destinée à un maximum d’entreprises. Son principe de développement de la solution reposant sur une communauté de développeurs internationale et ses créations d’outils indispensables comme sa méthode de paiement sécurisé dans le monde entier ou encore ses modules d’analyse de la performance web marketing ont fait de la plateforme e-commerce Prestashop un leader en Europe et en Amérique Latine.
La société affirme même qu’en 2020, “plus de 300.000 commerçants ont généré, via la plateforme et les services e-commerce de Prestashop, plus de 22 milliards d’euros de chiffre d’affaires”.

Une perte de vitesse pour Prestashop face aux nouvelles solutions techniques ?

 

Chez Asdoria, nous utilisons, exploitons et participons au développement de Prestashop depuis plus de 12 ans. Nous en avons vu passer des versions de l’éditeur ! Le point fort de Prestashop ? Sa simplicité d’accès et de création de site marchand, personnalisable avec de nombreux modules. Votre boutique en ligne est vite en place. Cependant, avec l’avènement du e-commerce, les exigences de plus en plus techniques de certains clients et le besoin de gérer un nombre toujours plus grandissant de produits, d’autres solutions de développement de sites e-commerce ont vu le jour et leur communauté s’étoffer telles que Sylius, très prometteuse, au point de s’insérer dans le marché à une vitesse fulgurante. Le leader aurait-il frémi face à l’adversité grandissante ?

L’heure du changement pour les entreprises utilisant déjà Prestashop

Prestashop était propriété de fonds d’investissement n’ayant qu’un rôle financier, avec une faible ingérence dans le contenu du projet. La société italienne MBE Worldwide, elle, aura une toute autre politique : elle a annoncé que Prestashop serait modifié pour s’adapter nativement aux autres outils que possèdent le groupe. Bien que le directeur général actuel de Prestashop, Alexandre Eruimy, conserve son rôle en gérant son équipe et ses activités, quels en seront les impacts pour les entreprises utilisant déjà cet éditeur pour leur business digital ? Le positif de voir leur solution e-commerce évoluer et devenir plus performante peut aussi se transformer en véritable cauchemar de la mise à jour incessante et de nouveaux modes de fonctionnement. Les entreprises visées ne disposant pas toujours – voire rarement – d’équipe digitale technique afin de s’adapter plus aisément aux mises à jour et pouvoir développer elles-mêmes leur boutique en ligne, vont-elles pouvoir s’y retrouver ?

Une solution numérique tout-en-un pour MBE Worldwide

De son côté, MBE Worldwide, à travers ses nombreuses firmes, permet aux entrepreneurs d’avoir une solution numérique complète pour leur entreprise, alliant marketing, exécution, impression, expédition. En 2020, MBE aurait “servi plus de 700 000 clients commerciaux dans le monde via un réseau mondial de plus de 2 800 centres de service dans 53 pays avec des ventes à l’échelle du système dépassant 1 milliard de dollars US”.
Le rachat de Prestashop par la société italienne permettra ainsi à cette dernière de compléter son offre en proposant particulièrement aux TPE et PME d’exploiter leur propre canal e-commerce partout dans le monde. Cette fusion traduit clairement la volonté de développement international de Prestashop afin de trouver un élan nouveau.

Une évolution que nous suivons de très près !

Asdoria, l’Agence Web e-commerce à vos côtés

Vous avez besoin davantage de conseil pour votre stratégie commerciale et webmarketing ?
Chez Asdoria, quelles que soient vos méthodes de vente, nous maîtrisons toute la chaîne du e-Commerce depuis plus de douze ans. Rencontrons-nous et discutons de votre projet ensemble.

Posted by Julie Sébille

Dropshipping : comment ça marche ?

Avez-vous déjà entendu parlé du dropshipping ? Une méthode de vente pourtant utilisée depuis des années qui fait parler d’elle notamment sur les réseaux sociaux et les marketplace. Le dropshipping consiste à expédier vos produits directement depuis les entrepôts de votre fournisseur à vos clients. Dans quel cas utiliser le dropshipping ? Pour quel type de business ? Quels sont ses points forts et ses faiblesses ? Décryptage.

Le dropshipping, la méthode de vente tendance

En tant qu’experts e-commerce depuis plus de 12 ans, nous connaissons et avons expérimenté une bonne partie des méthodes de vente en ligne. De la méga-boutique en ligne multi-produits et multi-catégories, au site e-commerce mono-produit ultra spécifique, nous en avons vu sous toutes les formes !
De plus en plus de personnes souhaitant se lancer dans le e-commerce se voient particulièrement intriguées par le dropshipping, réputé pour être un bon moyen pour commencer dans la vente en ligne. Souvent vantée comme la méthode ultime en tant que particulier pour se faire un business supplémentaire, le dropshipping est une méthode de vente sérieuse utilisée également par les professionnels souhaitant diminuer ou supprimer complètement leur(s) entrepôt(s) de stockage ou libérer de l’espace pour gagner des parts de marché avec d’autres typologies de produits.

Et oui, le dropshipping a la particularité de supprimer la partie “stockage” dans votre chaîne de distribution. Le client vous commande des produits, que vous commandez à votre tour à votre fournisseur, qui les expédie directement à votre client.

Économisez vos coûts avec le dropshipping

Votre fournisseur gère ainsi pour vous toute la logistique de ces produits ainsi que l’envoi au destinataire. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur l’aspect premier de la vente : le commercial.

Avoir un site marchand est une chose, mais le faire fonctionner efficacement et vendre ses produits dégageant une marge nécessaire au bon fonctionnement de votre entreprise en est une autre : avec le dropshipping, vous pouvez vous concentrer sur la vente de vos produits sans vous soucier de la logistique, de la gestion des stocks, des bons de livraison et de la préparation des colis. Une bonne méthode pour économiser sur ces coûts et gagner en efficacité sur votre stratégie de communication par exemple.

Conservez le contrôle de vos conditions de vente

L’avantage avec le dropshipping, c’est que vous n’avez pas besoin d’espace de stockage, donc. Vous êtes tout de même toujours garant du service après vente et de sa gestion, en cas de litige avec votre client, pour un produit accidentellement défectueux ou une erreur d’envoi, etc. Vous économisez le stockage coûteux sans perdre le contrôle sur les conditions de vente de votre produit.

✔️Autre point positif : votre produit ne subit pas plusieurs acheminements entre le fournisseur et vous-même avant d’arriver au client final. Il ne subit qu’une seule étape de transport entre le fournisseur et votre client.

Fournisseur en dropshipping : un lien de confiance

Attention, le dropshipping peut également avoir ses contreparties ! Dans un premier temps, il est primordial d’avoir un fournisseur de confiance. Un fournisseur qui gère mal ses stocks, qui n’est pas organisé dans sa logistique peut rapidement vous faire perdre en crédibilité auprès de vos clients : retards de livraison, défaut de stocks, annulation des commandes.
Il vous faut un lien fort avec votre fournisseur. Dans le cas contraire, un manque de communication pourrait générer une baisse de qualité de vos services directs envers votre client final, qui ne peut pas savoir ni comprendre que vos produits sont expédiés directement depuis l’entrepôt de votre fournisseur.

Le dropshipping incombe à une certaine dépendance envers votre fournisseur

Deuxième point à relever, les frais de livraison de votre fournisseur peuvent s’avérer élevés en fonction de ses prestations. Votre économie sur le stockage des produits peut ainsi être compensée par les frais de livraison. Attention donc à étudier l’intégralité des offres de votre fournisseur.

Enfin, vous restez dépendant de la production du fournisseur : s’il se retrouve en rupture de stock sur l’un de vos produits phrases, ou pire, s’il stoppe la production de ce produit, vous serez le premier à en pâtir. De même, le fournisseur reste libre de modifier le prix de vente de ses produits, ce qui peut avoir un impact non-négligeable sur vos prix de vente, votre positionnement sur le marché selon votre stratégie de vente etc.

Le dropshipping et les marketplace

Les places de marché telles qu’Amazon ou Cdiscount ont basé l’essence même de leur business sur le dropshipping : vous pouvez proposer vos produits en vente sur ces marketplace sans qu’elles ne possèdent le stock de ces produits (désormais, c’est possible avec le fulfillment. Vous vendez déjà sur les marketplace ? Découvrez de nouvelles méthodes de vente sur les places de marché grâce au fulfillment ou le statut Vendor d’Amazon.)

 

Pour résumer les aspects positifs et négatifs du dropshipping :

➡️ Le dropshipping n’inclut que trois étapes : vous proposez des produits du catalogue de votre fournisseur dont vous fixez le prix. Votre client vous commande le produit, vous transférez votre commande au fournisseur qui prépare et expédie le colis.
➡️ Une solution simple pour s’exonérer de la gestion coûteuse des stocks et de la logistique tout en conservant le contrôle sur les conditions de vente de votre produit ainsi que sur le service après vente.
➡️ Le dropshipping s’avère efficace avec une bonne stratégie de communication et un bon partenariat avec votre fournisseur afin de ne pas être décrédibilisé auprès de vos clients en cas de rupture de stock ou mauvaise gestion de la logistique. Attention, étudiez les frais de livraison de votre fournisseur qui se répercutent sur votre stratégie de prix.

Une bonne méthode pour commencer un business qui peut s’avérer très puissante avec une bonne stratégie digitale et commerciale !

Asdoria, l’Agence Web e-commerce à vos côtés

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Posted by Julie Sébille

Responsable Marketing Digital : Exacerber la puissance du e-Commerce

Être une Agence Digitale ne se cantonne pas au « simple » fait de créer des sites. C’est aussi connaître les méthodes, les stratégies, les comportements des internautes pour créer des sites marchands ou vitrine, mais avant tout des sites qui fonctionnent. Et c’est là toute la subtilité.
Nous vous parlons souvent de la technicité nécessaire pour pouvoir s’assurer d’une bonne performance. C’est vrai. Le Web Marketing est là pour animer votre site de manière stratégique. Déployer votre visibilité, être à l’affût de vos méthodes de vente, s’assurer d’une bonne rentabilité de votre e-commerce et vérifier qu’aucune anomalie n’interfère avec le bon fonctionnement des ventes.

C’est le rôle de Xavier, au sein de l’Agence. Sa mission ? Gérer l’intégralité du Marketing Digital de l’un de nos clients réalisant plus de 4.5 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel en n’utilisant que le canal digital. Découvrez sa vision du Web Marketing et de l’enjeu de ce poste au sein de votre entreprise :

En quoi consiste ton rôle de responsable Marketing Digital et e-commerce de l’un des clients de l’Agence ?

Bonne question, je vais essayer d’y répondre brièvement !
Tout d’abord, il est nécessaire de remettre les choses dans leur contexte. Aujourd’hui, le terme Web Marketing veut tout et rien dire. Tout dire, car tout le monde est dans une démarche marketing, chaque individu et chaque société. Rien dire, car il n’y a pas de règles bien précises qui « bornent » le métier, les techniques sont illimitées. Le Marketing c’est tout d’abord une culture, une manière de penser. C’est une démarche qui met en œuvre des moyens dans le but de réaliser un objectif rentable.

Rapprochons tout cela de notre métier et dans un contexte digital maintenant : le rôle du responsable Web Marketing est de définir une stratégie digitale, liée à des objectifs commerciaux, la contrôler, la faire évoluer et en mesurer les résultats. C’est un rôle extrêmement polyvalent. Prendre le rôle de RM en agence web pour le compte d’un client peut être complexe.

En général, le RM est déjà présent chez le client et c’est lui qui travaille ponctuellement avec une agence : relation client/prestataire.

L’externaliser chez une agence web, c’est la recette magique Asdoria. L’agence est par définition « à jour » voire en avance sur les technologies web.
En tant que « business accélérateur », c’est la promesse faite au client qui souhaite délocaliser son service Marketing chez Asdoria : un Web Marketing proche avec le client et qui a une avance concurrentielle du point de vue technique.

En tant qu’expert du Marketing Digital, quelles sont tes missions quotidiennes ?

Nous fonctionnerons par thème, prenons par exemple le thème le plus populaire « Prendre des parts de marché online » :

  • Générer du trafic dans une démarche de conversion et de ROI.
  • Mener des actions promotionnelles, étudier les ventes, segmenter un catalogue et définir des tarifs.
  • Gérer des boutiques en ligne : travailler sur des créations ou refontes, jouer sur des leviers pour maximiser les conversions…
  • Conquérir de nouveaux marchés : négocier avec de nouvelles marketplaces, créer des partenariats à l’étranger…
  • Et surtout « statistiquer », le RM se doit d’avoir son propre Dashboard.

Selon toi, les Marketplace seront un élément incontournable dans la stratégie de développement eCommerce des entreprises d’ici quelques années ?

Excellente question, merci de me la poser !
C’est déjà le cas. Incontournable oui, car la marketplace influence forcément n’importe quel business en ligne.
Une marketplace qu’est ce que c’est ? C’est un endroit du web à fort trafic où les marchands (au pluriel) proposent des produits (parfois les mêmes) à des acheteurs.
La concurrence étant rude, la marketplace tend à tirer les prix vers le bas, c’est donc à la fois un redoutable concurrent ainsi qu’un judicieux allié.

« Pourquoi acheter sur une boutique en ligne quelconque alors que la promesse Amazon est tellement forte ? »

Le prix marché, c’est Cdiscount qui le fixe aujourd’hui. Pour un e-Commerçant qui souhaite vendre une gamme de produits online, attention de réaliser un bench précis surtout sur les marketplaces. Une politique de prix plus élevés qu’Amazon est difficile à concevoir. Pourquoi acheter sur une boutique en ligne quelconque alors que la promesse Amazon est tellement forte ? Un prix au plus bas et une livraison le lendemain… Le e-commerçant doit se démarquer et proposer une promesse client forte : une garantie étendue, des délais de retours et échanges plus longs, des paiements différés, une appartenance à la marque

D’autre part, vendre sur Mano Mano c’est l’assurance d’être immédiatement exposé à des dizaines de milliers de clients potentiels. Et donc potentiellement de vendre très rapidement. Aujourd’hui la marque Bosch est présente en son nom propre sur Mano Mano et propose plusieurs gammes aux clients de la marketplace.
Quel est le but ? Renforcer la notoriété et la présence de la marque.

C’est un business model qui se réfléchit sérieusement, tant les objectifs sont multiples.

Pour toi, quelle est la mission la plus enrichissante et satisfaisante que tu as accomplie jusque-là ?

Vendre sur des marketplaces à l’étranger. Ça, c’est de la vraie conquête de part de marché ! La frontière peut parfois être mince entre commerce et marketing, mais réussir à faire référencer ses produits sur un nouvel axe de vente et en plus dans un pays différent, c’est une vraie satisfaction.
La volonté de s’internationaliser est toujours motivante, et ça nourrit une certaine ambition. C’est un peu comme une validation, le niveau 1 est terminé, on peut passer au niveau 2.

Quels sont tes outils webmarketing de prédilection ?

Il existe une multitude d’outils, pour gérer les projets, étudier le SEO, le trafic… Le rôle du RM c’est aussi de challenger et donc de proposer de nouveaux outils, de s’adapter ! Tout bouge très vite, le meilleur outil, c’est le suivant. Il y a bien sûr les incontournables statistiques Google pour le suivi de trafic, positionnement et comportement utilisateur. Au-delà de ça, le meilleur outil est un tableau de bord sur-mesure. Les décisions se prennent en fonction des chiffres : fréquentation, panier moyen, taux de ré-achat, marge… Chaque business est spécifique, un outil standard ne saura pas répondre aux besoins.

Et enfin, quel est ton aspect favori du métier ?

L’instantanéité !
C’est là, la force de l’agence, reposer sur des compétences multiples et variées pour une forte réactivité. Réactivité pour corriger des problèmes bien sûr, mais surtout pour le lancement de nouvelles opérations. Le « Time to market » est réduit au maximum et c’est ce que recherche un client (de l’agence) : une concertation sur le besoin, une conception réfléchie mais accessible et une mise en exécution rapide. Un résultat à la hausse dans un laps de temps toujours plus court, je pense que c’est ça « business accélérateur », non ?

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Et vous, sur quels canaux digitaux déployez-vous vos produits ? Comment élaborez-vous votre stratégie de marketing digital ? Besoin d’aide, un conseil ? Notre Agence réuni plus de 28 experts comme Xavier dans tous les domaines du web. Web Marketing, développement et programmation, référencement et rédaction, infrastructure web, graphisme et design, stratégie, consulting

Vous voulez-en savoir plus ? Suivez notre actualité sur les réseaux sociaux, ou prenez rendez-vous pour venir nous voir à l’Agence (dans le respect des règles sanitaires en vigueur évidemment) !

Posted by Julie Sébille

e-Commerce VS Commerce traditionnel : ce qui change dans votre entreprise

Le e-Commerce, ce sujet d’actualité qui a touché de nombreuses entreprises cette année. Avant de se lancer tous azimuts, il est important de savoir que mettre en place un projet e-Commerce a des impacts importants dans l’entreprise. Lorsque l’on vend sur internet, la notion du temps pour la démarche commerciale change du tout au tout par rapport au commerce traditionnel. Mais ce n’est pas tout. Le digital impacte l’ensemble de l’organisation de votre entreprise. Administration des ventes, logistique, comptabilité… Certains services devront s’ouvrir et s’ajouter aux bureaux existants. Nous vous proposons aujourd’hui d’examiner de plus près ces impacts du e-commerce par rapport à votre commerce traditionnel, à travers des cas clients que nous avons rencontré ces dernières années.

Le e-commerce vs le commerce traditionnel : une réactivité immédiate

Le plus important est sans doute le changement de la base de temps pour la démarche commerciale. Dans le mode dit “traditionnel” par opposition au mode “e-Commerce” ou de commerce Digital, une base de temps en jours voir semaines est monnaie courante. Qui n’a pas attendu et relancé un commercial pour avoir un devis pour tel ou tel produit.

En mode eCommerce la base de temps est l’heure et quelques fois la minute. Le prospect qui questionne et que l’on laisse sans réponse est perdu. Il est passé au résultat suivant de Google search où au produit suivant de sa Marketplace. Le Chef d’entreprise aura donc à cœur de sensibiliser et de motiver les troupes sur ce sujet.

Créer des entités digitales au sein de votre entreprise

Cette problématique induit souvent de tels changements dans l’entreprise qu’il est préférable de créer un petit noyau d’acteurs digitaux plutôt que de généraliser (saupoudrer) le digital dans tous les services.
D’autant que souvent vu comme une nouveauté abstraite et mal connue, le e-commerce inspire autant de refus primaires que d’engouement. Comment faire pour intégrer les frileux au projet et canaliser les envies des pressés ?

Chez ASDORIA nous recommandons souvent la création de deux entités (appelez-les comme vous le souhaitez : services, départements, groupes, tasks force, BU, …) que sont la Digital-Factory et la Digital-Academy.
Ces deux entités, sous la responsabilité d’un Responsable Digital ont comme missions, respectivement : la construction des solutions e-commerce et digitales dans l’entreprise et la sensibilisation et la formation des personnels à ces sujets.

Nommer un Responsable Digital et réunir autour de lui une équipe motivée, apte à répondre aux demandes est souvent LE facteur clef de succès d’un projet Digital.
Les autres services impactés par le e-Commerce sont la logistique, l’ADV (Administration des ventes), la comptabilité, le SAV, la direction financière.
Nous recommandons souvent d’associer aux membres permanents de la Factory, des membres consultés des autres services.

Le driver clé du Responsable Digital, bien avant le CA ou la Marge est la notation sur la ou les plateformes.
Le choix du Responsable Digital est crucial pour un chef d’entreprise. Le profil idéal combine une autorité naturelle, une connaissance étendue plutôt que profonde du monde Digital et une vraie capacité à être un paratonnerre des foudres aussi bien de la direction (en attente de R.O.I), que des équipes ou des clients.

e-Commerce vs commerce traditionnel : la logistique se voit perturbée

Il est important d’aborder les conséquences du déploiement d’un système de vente digitale sur la branche logistique de l’entreprise.

Commerce traditionnel multi-produit VS e-Commerce mono-produit

Pour une PME standard qui commercialise ses produits via une équipe commerciale ou des agents, les commandes sont généralement constituées de nombreux produits. Les particuliers ou les artisans passent des commandes de produits, accessoires, consommables, etc . et les revendeurs des commandes de réassort. Mais au final, la logistique se doit de traiter majoritairement des commandes avec plusieurs produits ; les commandes mono-produit étant exceptionnelles.

Contrairement au commerce traditionnel, dans le e-Commerce, le client final va généralement passer commande d’un seul produit. Chez ASDORIA nous constatons que nos clients reçoivent 92% des commandes en mono-produit. Une plateforme de ventes Web qui fonctionne génère un très grand nombre de petites commandes.

e-Commerce et logisitique, étude de cas

Il y a quelques années, nous avons accompagné une PME de CA 2.5 M€ dans sa transition vers le commerce digital.

  • Pour réaliser son chiffre, elle traitait environ 1800 commandes en une année.
  • Le panier moyen ressortait à 1400 € environ.
  • L’équipe logistique de 3 personnes traitait 6 commandes par jour.
  • Le délai entre la prise de commande et l’expédition était de 6 jours en moyenne.

En 16 mois, la plateforme que nous avons développée à généré en moyenne 55 commandes par jour pour un panier moyen de 88 € HT.

Le e-commerce et la rapidité de traitement des commandes

La surchauffe a commencé très tôt. La nécessité de traiter la commande dans un délai maximum de 48h associé au volume de commandes à traiter a profondément désorganisé l’équipe. La première réaction de la direction fut donc de gonfler l’équipe. Mais si un panier de 1400 € laisse de la place à un traitement long, celui à 88 n’en laisse aucune ; bien évidemment à marge constante. La rentabilité a fortement chuté.

Il a fallu 8 mois, 3 réorganisations des entrepôts, 4 versions de la procédure de traitement pour arriver à optimiser l’échelon logistique.

Les exemples de ce type ne sont pas rares. Quand on discute avec des chefs d’entreprise qui sont passés du commerce traditionnel à la transformation digitale, l’un des sujets majeurs de dysfonctionnement est la logistique. Les points essentiels sont la réactivité des équipes, les bonnes remontées des erreurs de stocks et une liaison forte avec l’équipe approvisionnement.

Vous songiez ajouter le e-Commerce en plus de votre commerce traditionnel ? La vente en ligne demande une réelle organisation, une réflexion. Un e-Commerce qui fonctionne bien, c’est une modification profonde de votre entreprise ! Chez Asdoria, nous savons de quoi nous parlons. Depuis plus de 12 ans, notre expertise e-Commerce n’a cessé de s’adapter aux évolutions de la vente en ligne, au nouveaux consommateurs digitaux, au nouvelle structures entrepreneuriales. Notre vision est basée du le Retour sur Investissement (R.O.I.) pour nos clients, dans toutes les facettes du digital. Nous mettons toujours un point d’honneur à vous accompagner dans l’élaboration ou le changement de votre stratégie digitale, afin que ce nouvel axe de vente  fonctionne concrètement et ait un réel impact positif sur votre chiffre d’affaires.

Vous souhaitez nous exposer votre expérience digitale au sein de votre entreprise ou discuter d’éventuels projets, vous souhaiteriez des conseils avant de vous lancer dans la vente en ligne ? Vous avez d’autres questions concernant le commerce traditionnel VS le e-commerce ? Nous sommes disponibles du lundi au vendredi, à l’Agence, par mail, ou par téléphone.
Alors, discutons-en !

Posted by Julie Sébille

KTM Online : Comment réorienter la stratégie e-commerce d’une marque connue et reconnue ?

KTM Online, Revendeur officiel des produits de la marque KTM, entrait dans la zone rouge de son site e-commerce. Après 5 ans de « bons et loyaux services », il était temps d’en changer pour pouvoir passer à la vitesse supérieure. Souligné par un déménagement des entrepôts et du magasin conférant des capacités de stockage bien plus avantageuses, KTM Online était prêt pour recevoir de nouveaux arrivages de produits. S’en découlait donc un besoin d’une meilleure gestion des stocks, d’une meilleure organisation des catégories, d’un site plus clair, moderne et visuellement attractif, performant techniquement et concrètement parlant.

Ce nouveau projet s’est avéré être bien plus qu’une simple refonte mais une réorganisation complète de la stratégie e-commerce de l’entreprise ! Un défi accepté avec plaisir pour Asdoria, experte e-Commerce depuis 12 ans.

Une histoire de Marketing Digital

Tout commence par le département Marketing. Lorsque nous avons entamé le projet avec KTM Online, la première étape a été de l’analyser dans son marché global. Deuxième étape, répertorier les actions jusque-là opérées pour pouvoir lancer une nouvelle orientation stratégique e-Commerce adaptée à ses objectifs.

Benchmark, positionnement et objectifs

Cette analyse est composée par des phases de benchmark intensives, d’une étude précise du mix marketing de l’entreprise. Nous avons ensuite décortiqué le référencement naturel (SEO) dont bénéficiait le site initial pour établir un état des lieux complet du référencement acquis.

Discuter, comprendre, échanger avec son client pour bien appréhender son positionnement de marque et ses objectifs dans son domaine d’activité et son marché global : la clef du succès pour pouvoir établir un nouveau projet qui tient parfaitement la route !

Lancement des maquettes et timing opérationnel

S’en sont ainsi suivies les créations des UX (User Experience, les maquettes techniques du site qui prennent en compte les habitudes et attentes des internautes) et les UI (User Interface, la patte graphique de la marque, sa touche personnelle qui dynamise et donne l’âme d’un site). Et bien entendu, l’intégration des nouvelles fonctionnalités dans ces maquettes, prêtes à donner un vent de fraîcheur et de performances à KTM Online.
Une fois la compréhension du client et de ses besoins confirmée, des UX, UI et propositions des nouvelles fonctionnalités validées, il est temps de passer au phasage de la montée en performance technique et commerciale digitale de l’entreprise !

Product Manager : place à la technique

Comment faire lorsque votre entreprise propose à la vente des milliers de références ? Comment bien gérer ses contenus et les proposer efficacement à la vente ? En utilisant un PM. Le Product Manager gère l’organisation complète de votre système de mise à la vente produits.

La technique du développement sur-mesure au service de la performance

Mais attention, pas n’importe quel Product Manager. Un PM sur-mesure développé par Asdoria. Un PM qui colle parfaitement aux besoins, aux produits, et à leur qualifications.
Il a fallu mettre en place ces outils sur-mesure et les adapter à la base de données KTM Constructeur.

Création stratégique d’un outil évolutif

Cela incombe une étude de la base de données, une préconisation technique de la part de notre Responsable Stratégie WebMarketing, d’un développement technologique poussé par nos tech leads et développeurs full-stack, d’une organisation précise du workflow, et bien entendu, d’une formation d’utilisation pour notre client.
Et comme les besoins et les produits d’un client fluctuent dans le temps, cet outil s’adapte afin de permettre à la firme de capitaliser sur une technologie évolutive et pérenne. Une valeur sûre pour la montée en puissance de la boutique en ligne de KTM Online.

Synchronisation avec l’ERP spécialisé Auto/Moto de KTM Online

Et qui dit Produit, dit aussi commande, dit également gestion… dit ERP. Impossible de fonctionner sans l’outil qui centralise les commandes produits, la gestion des stocks, ou même la gestion administrative et financière.
L’idée grandement réalisée ? Une connexion entre l’ERP et le nouveau site e-Commerce fraîchement développé sous Prestashop.

De l’Humain dans le digital avec l’accompagnement d’entreprise e-Commerce

Chez Asdoria, nous savons que pour faire monter en puissance un business, il ne suffit pas de développer une excellente solution. Il faut également accompagner son client dans ce processus !

Accompagnement à la recherche de ressources humaines

Pour l’évolution de KTM Online, leur équipe se devait de s’agrandir pour mener à bien le projet. C’est pourquoi nous avons défini ensemble le poste de eCommerce Manager pour aider les responsables de l’entreprise à s’entourer des meilleures compétences dans leur nouvelle stratégie digitale.

Accompagnement stratégique et technique

Nous avons également accompagné et conseillé notre client pendant plusieurs mois afin de l’orienter sur les stratégies à adopter pour l’amélioration de son business. Enfin, et même après livraison, nous effectuons une maintenance régulière et une préconisation technique de performance du site afin de toujours veiller à la réussite de notre client !

Le projet de la refonte e-Commerce de KTM Online, avec la création de son Product Information Manager est une très belle aventure pour Asdoria et nous sommes fiers aujourd’hui de vous présenter le nouveau site de vente en ligne du revendeur officiel de KTM ! Un projet qui, dès sa mise en ligne, montre déjà de belles performances de ventes !

Posted by Julie Sébille

Comment améliorer votre système de vente en ligne en 4 points

Pour les eCommerçants l’annonce du confinement de ce début d’année a été brutale et soudaine. Pour la plupart, les conséquences pratiques n’ont pas été étudiées en amont et donc elles ont dû réagir à la situation avec leur moyens et leur forces. Aujourd’hui l’économie est encore menacée d’un deuxième potentiel confinement. Profitons-en pour évaluer votre système de vente en ligne et soulever les points d’amélioration pour être mieux préparé cette fois-ci.

Des ventes qui fonctionnent, une organisation interne qui doit suivre

Si l’on regarde tout d’abord ce qui a continué de fonctionner, il faut citer les plateformes techniques. En effet les gros hébergeurs de serveurs ont une expérience forte en situations de crises et ont de nombreuses solutions pour faire face à des catastrophes. Les PRA (Plan de Reprise d’Activité) permettent de résoudre les effets de la perte d’un bâtiment, de l’incapacité d’accès aux personnels, etc …

De ce fait les clients confinés chez eux disposant d’ordinateurs ou de smartphones pouvaient alors passer autant de commandes que souhaité.

C’est là que cela se gâte.

Le premier échelon dans l’entreprise qui traite les commandes est l’équipe ADV (Administration des Ventes).

Deux soucis à gérer : la disponibilité des personnels, souvent en télétravail forcé et la capacité de l’ensemble des outils d’être accessibles de manière sécurisée depuis le domicile des personnels.

Des points essentiels à mettre en place pour résister

Si l’on résume les impacts du confinement de ce premier semestre 2020, les entreprises qui ont bien résisté sont celles qui ont sécurisé ces pôles :
Disposer de la plateforme de vente opérationnelle (SAAS, Assistance, …)
Disposer d’une équipe de Marketing Digitale opérationnelle (Préparée au télétravail).
Disposer d’un centre logistique opérationnel (Organiser les entrepôts, le picking, l’expédition en silos pour éviter les trop grandes interactions entre les personnes.
Disposer d’accord d’approvisionnement permettant le réassort des stocks et le transport des marchandises.

Disposer de la plateforme de vente opérationnelle (SAAS, Assistance, …)

Avoir un site, ou votre système de vente qui fonctionne. C’est effectivement le minimum requis, difficile de faire des ventes web si la plateforme n’est pas en ligne et opérationnelle.
Mais il faut tenir en compte tous les aspects pour qu’elle puisse en effet fonctionner :

  • Hébergement chez un prestataire qui garantit le fonctionnement. Si vous hébergez chez quelqu’un qui ne peut accéder à ses serveurs car lui-même confiné, vous êtes au même point. Idem si vous hébergez chez vous (dans votre entreprise) le serveur web.
  • Disposer d’un contrat d’assistance pour les pannes et bugs qui peuvent survenir.
  • Disposer d’une bande passante suffisante et garantie. En effet nous avons eu l’exemple d’un client qui hébergeait de manière mutualisée et qui ne pouvait satisfaire ses visiteurs du fait du partage de la bande passante avec des sites eux-mêmes très sollicités.

Disposer d’un centre logistique opérationnel

Il y a deux aspects dans la logistique, un aspect purement virtuel : les ordres de préparation et expédition doivent parvenir à l’entrepôt. Et un aspect purement RH : Il est nécessaire d’avoir une équipe disponible pour la préparation des commandes. Le point numéro un est purement technique et déjà abordé. Pour le point numéro deux c’est un problème organisationnel qui doit être pensé en amont.

L’organisation opérationnelle des entrepôts doit être pensée pour optimiser le temps de traitement des commandes, mais aussi pour tenir comptes de contraintes notamment sanitaires. Nous avons, à l’agence, relevé quelques bonnes idées comme celle de disposer des imprimantes pour les OP en tête de chaque ligne de rack, pour éviter les aller-retours. Ou alors de réserver un côté de rack pour l’approvisionnement (réception) et un côté pour le picking. Ainsi les employés ne se croisent jamais. Bien évidemment il s’agit là de quelques astuces simples, je ne prétend pas être expert en logistique. Mais rappelons que nous nous adressons à des clients PME, voir TPE qui n’ont pas les moyens de construire un gros centre logistique.

Dans les bonnes pratiques notons :

  • Limitation des déplacements dans le centre logistique
  • Création de sas étanches (entre picking et préparation, entre préparation et expédition, etc …)
  • Définition des créneaux horaires sans recouvrement pour des tâches nécessitant l’accès à des ressources partagées…

Disposer d’accord d’approvisionnement permettant le réassort des stocks et le transport des marchandises

C’est là le point clef pour nombre de nos clients. Ils avaient tout anticipé : tout en SAAS (Software As A Service), Entrepôt opérationnel, Marketing à bloc, beaucoup de ventes mais …. pénurie de produits.

Le dilemme est important pour les PME qui ne peuvent pas stocker (question de coût, question de place) et qui doivent assurer un flux continu de marchandises. Ceux qui ont su fonctionner pendant tout le confinement ont souvent mis en place leur propre système de transport par exemple et distribué leur approvisionnement depuis plusieurs centre logistiques en France et en Europe : Hollande, Portugal, Italie.

Nous croyons que ce confinement a montré quelque chose d’essentiel, un peu oublié par certains (beaucoup) et qui est pourtant un excellent adage : il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Nos clients top vendeurs sont ceux qui ont gardé dans leur ADN ce principe : être partout sur tous les fronts. Alors c’est vrai que cela va souvent à l’encontre des dogmes actuels d’optimisation des flux : choisir un petit nombre de flux et les optimiser au maximum pour réduire les coûts et maximiser les gains. 

Ce que le confinement a montré c’est que ceux qui étaient présent sur leurs sites, plus les marketplaces, avec entrepôt en propre, plus entrepôt sous-traité, plus fulfillment, plus dropshipping, avec sourcing France, plus Europe, plus Asie, … s’en sortaient beaucoup mieux. 

Doit-on craindre un retour du confinement massif ? Probablement pas mais nous ne disposons pas de boule de cristal. Par contre ce que l’on pense et répète à nos clients, c’est qu’il faut se préparer à des événements hors de l’ordinaire car ils risquent de se reproduire dans l’avenir.

Centraliser les informations pour mieux gérer l’écosystème ecommerce

Chez ASDORIA nous avons depuis 5 ans bâti une solution complète en SAAS : depuis, bien évidement, le back-office des boutiques mais aussi l’ERP, le logiciel logistique, le CRM, … Un système d’impression centralisé permet de rediriger les travails vers les bonnes imprimantes sans besoin de paramétrage complexe du poste utilisateur (souvent le PC ou le Mac privé de la personne).
Pendant la phase de confinement, nos clients ont tous pu travailler en Home Office comme s’ils étaient sur site. Avec tous les sites et applications en https, le SSO (Single Sign On, une seule authentification) et la double Authentification (OTP sur mobile), n’importe quel poste devient un poste de travail en quelques minutes. La sécurité est optimale et aucune donnée n’est stockée sur le poste de travail.

Ce que couvre notre solution full SAAS :

    • SSO + Double Authent OTP Mobile
    • Full HTTPS
    • Boutiques web Front et Back-office
    • Push produits sur Places de Marché
    • ERP Synchronisé DOWN et UP avec Boutiques et Marketplaces
    • Push Logistique pour Picking Expédition
    • Génération Auto Etiquettes transporteurs
    • Impression automatique sur imprimantes entrepôt (multi-imprimantes, multi-entrepôt, …)
    • NAS (NetWork Area Storage) pour PDF, Photos, vidéos, textes, …
    • Rédaction documents partagés multi-utilisateurs

Au delà des compétences techniques, nous accompagnons nos clients sur le côté stratégique de la vente eCommerce en analysant leur process (process d’achat, de stockage, de vente, de SAV, etc ..) afin d’isoler et de traiter les points faibles.

Posted by Julie Sébille

La boutique Rentable VS la Boutique « Bankable »

Dans le monde des eShops, en tant qu’Agence Web Spécialisée e-Commerce nous sommes souvent confrontés au problème du positionnement tarifaire de la boutique.

Modèle Rentable ou Modèle « Bankable » ? Quelles sont les différences et les intérêts ?

Rentable ou Bankable, 2 modèles qui s’affrontent

Disposer d’une boutique rentable, c’est à dire où le positionnement prix est suffisamment élevé pour que la marge dégagée après déduction des commissions, charges, coûts divers plus des salaires des opérateurs (Saisie commandes, picking, SAV, …) reste positive.

Ou disposer d’un boutique dite “bankable” quand cette même marge est nulle, voire négative.

Où est l’intérêt vous direz-vous ? Pourquoi cette seconde boutique serait-elle bankable ?

Une question de rapidité de croissance CA

La raison principale est évidente, en vendant à perte, le volume de vente réalisé va être plus voir beaucoup plus important qu’en vendant au prix du marché. De ce fait le CA de la boutique bankable va croître beaucoup plus rapidement que le CA de la boutique rentable.

Vous direz également que la vente à perte est interdite en France, hormis lors de soldes mais finalement est-ce que nos boutiques ne sont-elles pas que des machines à exploiter des périodes de promotions ? Il suffit de regarder la part de CA dégagée par les majors lors des : soldes, prime days, black-friday, etc … par rapport au CA total annuel.

D’autre part, comment qualifier la vente à perte lorsque le calcul de la marge réelle dépend d’un mille-feuille très complexe de commissions, charges, coûts ? Commissions de TPE en forfait ou %, coûts de transports, …

Y voir clair dans ses coûts

Chez ASDORIA nous avons développé un outil qui collecte la totalité des données de ventes, achats, gestion pour en sortir une analyse de ce millefeuille. Pour nous c’est l’outil ultime pour avoir une vision clair des coûts.

Confronté récemment à des investisseurs souhaitant entrer au capital d’exploitants de boutiques internet, le modèle bankable avec un fort CA est plus attirant, attendu et séduisant que le modèle rentable.

Une vision bipolaire

Mais comme exploitant, il faut accepter de vivre en attendant un prochain tour de table permettant de vivre une ou deux années de plus en espérant une sortie par le haut.

Cette vision bipolaire est bien évidemment à moduler en fonction de situations particulières. Nous avons notamment un client qui arrive à concilier belle croissance (de l’ordre de 45 à 50 % par an minimum) depuis 5 ans avec une belle rentabilité ! Comment ? grâce à un modèle digital ultra-optimisé qui réduit les coûts de structure.

Posted by Julie Sébille

5 Questions à se poser avant de se lancer dans les places de marché

Vous souhaitez élargir vos canaux de vente en proposant vos produits sur les places de marché ?
Aujourd’hui, il est possible de rivaliser avec les grandes marques de votre secteur sur ces plateformes de vente. Mais avant de se lancer, il est impératif de se poser quelques questions.

 

Une place de marché, pour quoi faire ?

 

Avant toute chose, petite définition. Les places de marché, aussi appelées marketplace, sont des plateformes de vente qui regroupent plusieurs vendeurs et par conséquent une multitude de produits. L’internaute achète ainsi les produits (ou services) du vendeur en passant par l’intermédiaire des places de marché qui récupèrent une commission sur la vente.
Dans un premier temps, même si cela paraît logique pour certains, demandez-vous pour quelles raisons vous souhaitez proposer vos produits sur les marketplace. Il faut vous fixer des objectifs : acquérir de nouveaux clients, une meilleure visibilité, un taux de marge plus intéressant…

 

Vouloir se lancer dans les places de marché, d’accord, mais lesquelles ?

 

Il existe une pléthore de places de marché ayant chacune un positionnement différent et précis. On pense à Amazon, ManoMano, Rue du commerce, Rakuten, Fnac, Auchan, Cdiscount, Ebay, Darty, Auchan et bien d’autres. Elles ont toutes leur spécificité (bricolage pour ManoMano, l’univers de la maison pour Darty, généraliste pour Amazon etc…), et leur clientèle. Sachez qu’il faut pouvoir prouver sa légitimité au sein d’une marketplace. Vous choisissez dans un premier temps sur quelles plateformes vous souhaitez apparaître, mais ce sont les places de marché qui décideront si vous pouvez effectivement les rejoindre. Optez donc pour celle(s) qui correspondra(ont) le mieux à vos positionnements de prix/produit.

5 questions à se poser avant de se lancer dans les places de marché

Le cycle de vente via les places de marché

 

Comment faire un choix sur les produits de mon catalogue ?

 

Sélectionner les produits que vous souhaitez diffuser sur les places de marché est aussi une étape cruciale. Ces choix dépendent de la marketplace, des commissions qu’elle prend sur les ventes, de son positionnement (politique de prix élevés, ou plutôt tirés vers le bas…), de la concurrence présente sur la plateforme, des descriptifs produits… Oui, les descriptifs sont tout aussi importants ; ils doivent rassurer le client et crédibiliser votre marque, voilà un point fort qui peut vous permettre de vous démarquer.

 

En pratique combien cela coûte-t-il ?

 

Évidemment, ce n’est pas gratuit. D’une part, la place de marché requiert un abonnement mensuel fixe qui peut aller de 40 à une centaine d’euros par mois. D’autre part, il vous faudra calculer votre coût variable, dépendant des commissions que s’octroie la marketplace sur vos ventes. Chaque plateforme a ses propres pourcentages de commissions, votre prix de revient sur un même produit peut donc être différent.

Combien de temps demande un lancement sur les places de marché ?

 

Vous pouvez les intégrer à tout moment, à l’occasion d’un lancement de produit ou pour générer plus de ventes, si vous souhaitez davantage de visibilité, si vous voulez avoir plus d’influence à l’international… Mais attention, cela demande beaucoup de temps. A minima deux mois complets non-stop pour le lancement. Il faudra préparer des dossiers complets concernant votre entreprise à présenter aux places de marché : vos chiffres, vos ventes, vos délais de livraison, avec quel transporteur vous travaillez, en bref, c’est la présentation de toute la chaîne, de l’achat à la livraison finale du produit.
Le suivi d’analyse, la gestion des stocks et des commandes (incluant les retours clients !) sans oublier l’ajustement des prix une fois vos produits mis en place vous prendront au moins 4 heures par jour. Il n’y a pas de secret, être performant signifie qu’il faut veiller au grain pour agir au mieux.

 

Points forts et points faibles des marketplace

Voici brièvement les bons côtés et les risques à prendre lorsque l’on se lance dans les places de marché :

☑ Étendre sa visibilité via la réputation et la fiabilité de la marketplace, avec une garantie de trafic

☑ Maîtriser ses coûts, qui dépendent des ventes

☑ Accès et visibilité à l’international plus faciles

☑ Mobile first

☑ Peuvent représenter facilement 10 à 20% du CA d’un commerçant de type TPE – PME

☑ Les places de marché sont les plus gros sites eCommerce

☑ Valeur ajoutée : référencement web optimal

☑ Pour l’internaute, la place de marché représente + de choix, + de comparaison… Elle sert son intérêt

☒ La place de marché peut diffuser certaines de vos informations de votre entreprise : combien de ventes vous avez effectué, etc.

☒ Marge réduite + mensuel fixe à régler à la PDM

☒ Règles contraignantes (ex. : les conditions de ventes, la garantie A à Z Amazon…). C’est plus difficile pour les vendeurs à petite envergure.

☒ Guerre des prix et énormément de concurrence

☒ Clients + fidèles à la markeplace qu’au vendeur en lui-même. La fidélisation est donc plus compliquée.

Vous pouvez compter sur notre équipe d’experts eCommerce et marketplace pour analyser vos ventes, gérer de la meilleure manière votre budget et prendre en main une veille permanente et omniprésente (avis clients, descriptions et caractéristiques produit, ajustement des prix, veille concurrentielle…).
Découvrez également les diverses méthodes de vente et de livraison dans le e-commerce pour vous aider à choisir sur le meilleur moyen pour développer votre entreprise et votre chiffre d’affaires grâce au digital.


N’hésitez pas à nous contacter !

 

Nos compétences :
Prestashop | Magento | Marketing Operationnel | MIRAKL | IZBERG | WIZAPLACE | Statistique | Shopping Flux | Advertising | ERP | Dolibarr | SAP | SAGE | Multicanal | Omnicanal

Posted by asdoria

Comment fonctionnent les places de marché (Marketplaces)

11 à 20 % des ventes des PME sont générées par les places de marché. Ce n’est pas pour rien qu’à peu près la moitié des PME en France, selon la FEVAD, déclarent que les marketplaces, également connues sous le nom de places de marché, sont très importantes pour leur chiffre d’affaires. De notre côté, en tant qu’experts du e-commerce, les marketplaces nous sont familières. Elles font partie intégrante d’une stratégie de vente en ligne efficace. Mais le sont-elles pour tout le monde ?

Qu’est-ce qu’une marketplace ?

Le mot marketplace est souvent utilisé dans le milieu du web et plus précisément de l’e-commerce, mais qu’est-ce que c’est ? En bref, ce terme désigne un espace (souvent un site ou une plateforme e-commerce) qui a pour but de mettre en relation les acheteurs et les vendeurs sur Internet. On y retrouve toutes les sortes de marques, de secteurs d’activité divers et variés, qui veulent déposer leurs produits et services sur ces marketplaces. Des relais utiles pour les grandes comme les petites entreprises qui souhaitent exposer leurs produits à un grand nombre de clients. Vous avez sûrement déjà entendu parler d’Amazon, Ebay ou encore Cdiscount ? Ce sont des marketplaces.
Elles n’offrent pas les mêmes produits et services, il est vrai, mais elles ont toutes des objectifs communs, connecter acheteurs et vendeurs et fournir de grandes opportunités d’achat et de vente.

À leurs débuts, les marketplaces visaient un le secteur professionnel B2B. Elles étaient ainsi utilisées prioritairement pour répondre à des appels d’offre. Avec les avancées et la démocratisation des achats en ligne, les marketplaces sont désormais ouvertes au grand public : le Business To Business s’étend désormais aux consommateurs (BtoC) et partage également l’espace des plateformes aux particuliers, le CtoC (modèle de Vinted, par exemple.). Des relais utiles pour les grandes comme les petites entreprises qui souhaitent exposer leurs produits à un grand nombre de clients.

Aujourd’hui les marketplaces gagnent en notoriété. Il devient plus aisé pour le consommateur d’accéder directement à la plateforme pour trouver le produit/service qu’il recherche au meilleur prix plutôt que de faire d’innombrables comparatifs sur les moteurs de recherche. Le trafic étant ainsi « garanti » par les places de marché, le professionnel s’assure une visibilité et la possibilité de toucher plus facilement sa cible. À condition de respecter quelques règles.

Proposer ses produits sur les marketplaces c’est gratuit ?

Certes, les places de marchés apparaissent comme un facilitateur de mise en relation entre les consommateurs et les e-commerçants, mais est-il facile d’y proposer ses produits/services ? Les services proposés par les marketplaces sont-ils payants ? et à quel prix ? Les conditions sont-elles différentes selon les places de marché ? En bref les marketplaces comment ça fonctionne ?

Premièrement, vous devez souscrire un abonnement à la place de marché que vous souhaitez utiliser (variant d’une quarantaine à une centaine d’euros par mois).
Secundo, sur chaque vente que vous allez faire, la plateforme va vous prélever une commission. Cela dépend des places de marché, chacune fonctionne différemment. Certaines d’entre elles vont prendre des commissions fixes, qui ne changeront pas (par exemple, mano mano prend une commission de 17 % sur les ventes hors taxes, peu importe le produit vendu). D’autres, comme Amazon, vont appliquer ces taxes en fonction des typologies de produits, bricolage, jardin, etc. Vous l’aurez compris, chaque marketplace a sa manière de récupérer des commissions et leur pourcentage variera également, mais sans jamais pour autant dépasser 20 %.

Qu’est-ce que les gestionnaires de Flux e-commerce ?

La diversité des places de marché, de leurs offres, secteurs d’activité (généralistes ou spécialisés) et de leurs conditions peut dérouter un commerçant quant à son choix le plus juste pour cibler la meilleure plateforme en fonction de ses produits et de ses objectifs. C’est dans ce contexte que sont apparus les gestionnaires de flux e-commerce. Ce sont des services qui permettent d’automatiser et de simplifier ces actions. Globalement, ce sont eux qui gèrent l’envoi de vos produits, leurs suivis etc… Sur les places de marché adaptées à votre demande. Vous trouverez aisément plusieurs types de gestionnaires de flux. Chacun d’entre eux possède leurs propres particularités. Parmi eux, Shoppingfeed. Anciennement nommé ShoppingFlux, ce logiciel permet, autre que de publier vos catalogues produits sur de nombreuses places de marché, de faciliter le référencement naturel de ces derniers. Il vous donne également la possibilité d’automatiser certains processus liés à vos commandes comme les suivis de livraison, pratique non ? Bien d’autres fonctionnalités sont possibles avec ses gestionnaires, l’analyse des ventes, la gestion des stocks etc..

Renseignez-vous !

Les marketplaces les plus connues telles qu’Amazon, Ebay Back market ou encore d’autres sont souvent évoquées pour leur renommée, mais bien d’autres places de marchés se cachent derrière ces géants de l’e-commerce. Elles sont présentes pour tous les marchés, on peut y compter les marketplaces généralistes, du secteur mode et beauté, Maison et décoration, du secteur sport et beaucoup d’autres. Alors si vous souhaitez y placer vos produits, soyez attentifs, veillez à bien choisir vos produits, connaître votre concurrence et vous renseignez sur la place de marché de votre choix.
Ici, chez Asdoria, nous pouvons vous aider à choisir LA place de marché adéquat pour votre commerce. Vous avez besoin d’aide ou voulez-en savoir plus ? Alors suivez notre actualité.

Posted by Julie Sébille