Author archives: Julie Sébille

Le Traffic Manager : Le comportementaliste Marketing des internautes

Ces dernières semaines, vous avez certainement remarqué notre série dédiée aux métiers qui composent notre Agence. Parce que le monde du web est un vaste sujet, il demande tout autant de compétences ! Directeur Artistique, Intégrateur Web, Développeurs front et back-end, webmarketeur, rédacteurs web, chef de projet, techlead… des rôles que l’on ne rencontre pas forcément tous les jours quand on ne travaille pas dans le digital.
Découvrez les experts qui s’occupent de votre projet, leur rôle et leurs missions.

Aujourd’hui, après vous avoir présenté des aspects assez techniques lors des derniers articles, nous prenons le temps de vous expliquer le métier de Responsable Webmarketing et Traffic Manager. Un profil 2 en 1 représenté par Florian, un spécialiste des deux disciplines !

Florian
Responsable Webmarketing - Traffic Manager

Mon métier ? M’assurer que l’entreprise cliente touche son client final, que cela soit dans la conception de site/boutique ou dans l’apport de trafic qualifié.

Le Traffic Management : un maillon essentiel de la chaîne webmarketing

Florian : « Aujourd’hui, il ne suffit pas d’avoir un site web ou une boutique en ligne pour être visible et vendre sur Internet. Une personne qui cherche un produit/service sur le web, peut le faire de différentes manières et avoir énormément d’offres proposées.

Il faut donc être performant dans beaucoup de domaines pour attirer, séduire et convertir en acte de vente ou prise de contact. Mon métier consiste donc à m’assurer que l’entreprise touche son client final, que cela soit dans la conception de site/boutique ou dans l’apport de trafic qualifié. Cet ensemble doit permettre d’obtenir le meilleur retour sur investissement (R.O.I) possible.
Mon quotidien est rythmé et diversifié : entretiens avec les clients, conception de parcours utilisateurs et élaboration de stratégie marketing, lancement de campagne de communication, développement commercial, analyse de trafic et de suivi des opérations de marketing…. »

Tu as donc deux types de missions webmarketing bien spéciales ?

« Oui. Je peux distinguer deux types de projets. Les projets de conception de boutique/site/page. Ici j’interviens très en amont du projet et le suis jusqu’à la livraison. Il faut dialoguer avec le client, connaître son entreprise, ses clients et ses besoins. Ensuite, après avoir étudié le marché et la stratégie marketing, je conçois le site/page d’un point de vue navigation et dans un objectif de résultats. Ensuite, le projet va passer entre les mains des graphistes puis des développeurs et je vais m’assurer que le rendu-final corresponde bien à la demande client.

Pour les projets de communication ou de développement commercial : J’interviens aussi tout au long du processus, de la stratégie jusqu’à la mise en place et au suivi des campagnes marketing. Je m’assure que les objectifs soient bien atteints et ce sur tous les canaux de communication (Google Ads, Emailing…) et de vente (Boutique, Marketplaces…). »

Tu es donc garant du bon accompagnement des clients et de la réussite de leur projet ?

« En tant que responsable webmarketing, il faut accompagner le client oui. il ne s’agit pas uniquement de produire une mission mais de proposer un réel accompagnement dans le business de l’entreprise. Il faut savoir être à l’écoute. Le monde du digital n’est pas simple à aborder, il est très vaste et souvent modifie/bouscule le fonctionnement interne des entreprises.

En tant que responsable webmarketing, je jongle entre différents clients, type de missions et intervenants. Il faut donc savoir s’adapter à chaque situation, il est crucial d’avoir une certaine agilité.
De plus, le web étant en constante évolution, il faut, en plus d’être à l’écoute, savoir être curieux. À la fois pour l’ aspect technique mais aussi dans le comportement des “internautes”.
Et je dirai que ce n’est pas simplement un métier d’accompagnement mais également de communication et de gestion. Enfaite, c’est un emploi du temps bien rempli et des compétences variées ! » (rires)

Pour toi, qu’est ce qui rend un projet enrichissant, satisfaisant ?

« Les moments clés qui apportent le plus de satisfaction sont tout d’abord lorsque l’on voit que le client est ravi des outils digitaux que l’on a conçu pour lui. C’est que l’on a bien compris l’entreprise, ses valeurs et besoins.

Le deuxième type de moment clé est quand les chiffres de performance parlent : qu’ils sont bons et répondent aux objectifs fixés. À ce moment, on se dit qu’on a bien fait le job, apporté une réelle plus value aux clients. Une relation de confiance naît et amène à construire d’autres projets ensemble. »

Concrètement, quels type d’outils web utilises-tu pour atteindre tous ces objectifs ?

« · Il faut s’approprier les différents back-offices des sites/boutiques ou marketplaces afin de configurer, gérer les offres commerciales et suivre les ventes.
· En tant que traffic manager, il nécessaire maîtriser les outils de création et de pilotage des campagnes de communication : Google Ads, logiciel emailing, les outils proposées par les marketplaces ou réseaux sociaux…

· Les outils qui permettent de trouver les mots-clés sur les lesquels se positionner sur les moteurs de recherche qui peuvent aller de paire avec les outils d’audit et d’analyses SEO.
· Pour connaître les personnes qui viennent sur les sites/boutiques, observer leur comportement et étudier la performance des sites et canaux de communication, j’utilise des outils d’analyse de trafic et performance comme Google Analytics.

· Des logiciels de design/graphisme afin de créer des supports de communication ou simple visuel produit à destination des sites web et régie publicitaire.
· Avant l’élaboration des maquettes graphiques, il est d’abord important de conceptualiser le parcours client et les éléments présents dans chacune des pages. Pour cela on utilise des logiciel d’UX Design. »

Votre aspect préféré du suivi des opérations de marketing ?

« La diversité des missions et la recherche de performance. Je travaille sur différentes problématiques en intervenant à différents niveaux d’un projet avec comme objectif final sa réussite. »

Vous avez aujourd’hui fait un pas dans le monde bien vaste du Webmarketing et l’une de ses spécialités : le traffic management. Analyser les bonnes cibles de l’entreprise et s’assurer, selon différents moyens et canaux de communication, que les messages les atteignent bien. Un métier de chiffres et de lettres, de communication et d’actions !

Vous souhaitez développer le référencement de votre site actuel, améliorer votre position dans les résultats des moteurs de recherche, lancer des campagnes de publicité digitale pour accroitre votre visibilité et votre chiffre d’affaire mais vous avez besoin de conseil et d’un accompagnement fiable ?
Chez Asdoria, nous sommes convaincus qu’avec une bonne stratégie digitale et un accompagnement qualitatif, vous atteindrez vos objectifs !

Posted by Julie Sébille

Créer un site web unique avec la technique du Développeur front-end

Dans l’interview dédiée au rôle de l’intégrateur web au sein de l’Agence, nous avons finit sur une question plutôt ouverte sur la différence entre l’intégrateur Web et le Développeur Front-End. Deux métiers très similaires ayant pour but transformer une maquette en un véritable site web. Votre site web.

Mais nous le savons tous, chaque entreprise a des besoins et des attentes différentes en fonction de son domaine d’activité, de ses objectifs, de ses produits, de ses cibles et du message qu’elle souhaite transmettre. Tout est une question de positionnement.

Comme chaque projet est unique, les fonctionnalités qui construisent et animent votre site web le sont tout autant. Voilà ce qui différencie ces deux métiers complémentaires. L’un aura une sensibilité plus accrue sur le graphisme et le côté créatif (l’intégrateur web), tandis que l’autre sera plus dirigé vers les problématiques techniques et le développement des fonctionnalités spécifiques visibles sur le front-office du projet.

Le « front » (prononcez le « t » final), c’est ce qui se voit sur votre site, un peu comme votre front sur votre visage. ?
Et aujourd’hui, nous avons une petite surprise. Ce n’est pas un mais deux de nos développeurs front-end qui se sont prêtés au jeu pour répondre à nos questions et balayer les interrogations que vous pouvez avoir quant à l’élaboration de votre site marchand, votre site vitrine, votre appli mobile, ou votre projet digital dans sa globalité. Laissons place à Florian et Maxence !

Florian
Développeur Front-End

Mon rôle ? Retranscrire vos volontés graphiques et fonctionnelles avec du code !

Maxence
Développeur Front-End

L’équipe front-end développe la technique visible pour l’utilisateur final.

Le développeur front-end a donc pour mission de développer les aspects techniques visibles d’un projet digital…

Florian : – Exactement, nous répondons aux attentes du cahier des charges concernant les fonctionnalités sans oublier le respect de la direction artistique ! Nous traitons les données mises à disposition afin d’afficher et de filtrer les données désirées à l’écran. Nous sommes également chargés de retranscrire les maquettes produites par l’UI Designer à l’identique. Nous intervenons donc juste après la validation des maquettes par le client.

Pour faire simple, le b.a.-ba de notre métier c’est de résoudre des problématiques. Ce qui est le plus satisfaisant, pour moi en tout cas, c’est de les avoir résolues avec tout le processus cognitif pour y arriver !

Maxence : – En effet, nous donnons vie à la maquette créée par le designer en mettant en place les fonctionnalités à grands coups de JS / Css et Html ! C’est toute la partie visible du site, nous intervenons donc principalement au milieu du projet, lorsque les UX et UI sont validées et ce jusqu’à la fin du projet afin de s’assurer que tout est conforme. Et comme dit Florian, s’assurer que toutes les éventuelles problématiques soient résolues au livrable (et même après d’ailleurs).

Vous arrivez à développer tout type de fonctionnalités pour vos clients… Vous avez une recette secrète pour y parvenir ?

M. Ah ! Pas de potion magique mais avant tout de la motivation et de la détermination ! Dans le web, tout va vite, voire trop vite, donc si tu n’es pas assez déterminé, cela va être rapidement compliqué à suivre et petit à petit ton savoir sera obsolète… Je ne connais pas la recette mais en tout cas une bonne dose de détermination est nécessaire !
Après, il faut aussi avoir une pointe de créativité, être autonome et surtout aimer ce que tu fais, sinon tu te tires une balle dans le pied tout seul, et ça c’est pas cool… et en plus ça fait mal.

F. (rires). De mon point de vue, il faut persévérer avant toute chose. Il faut se faire violence et ne pas lâcher face à la difficulté. Être curieux, savoir travailler en équipe sont également des aptitudes primordiales. Les compétences techniques viennent après. Et cela tombe bien, nous avons la chance d’évoluer au sein d’une très belle équipe de dev’ à l’Agence !
Nous utilisons également des outils qui offrent une bonne performance tels que l’IDE PHP Storm, Git comme dépôt de projets… En ce qui concerne les langages de programmation, nous nous concentrons sur le Javascript ES6, l’HTML5/CSS3. Nous utilisons des frameworks JS tels que Vue.js et des frameworks CSS tels que Tailwind. De quoi faire du travail qualitatif !

Vous travaillez donc aussi avec les intégrateurs web lors d’un projet ?

F. On peut dire que lors de l’élaboration et la construction d’un projet digital, nous sommes tous les maillons d’une chaîne bien solide. Le projet client passe entre beaucoup de mains expertes et complémentaires. L’intégrateur web et le développeur Front-End ont une tâche commune : l’intégration des maquettes en HTML5/CSS3. Cependant, l’intégrateur web aura plus une sensibilité graphique avec des compétences liées donc au graphisme comme la maîtrise des logiciels Adobe. Tandis que le développeur Front-End sera plus axé sur la logique et le traitement des données afin de résoudre un problème et développer des fonctionnalités correspondantes. Notamment en employant le Javascript et les technologies d’aujourd’hui comme les frameworks JS comme Vue.js ou React.

Infrastructure Web, Direction Artistique, Intégration Web, Développement Front-End… Un site qualitatif, c’est du travail. Mais surtout, c’est du travail d’équipe avec de bons outils ! Pour bien comprendre votre besoin, nous procédons toujours à une analyse de votre marché et des outils web indispensables pour un bon R.O.I.
Développer des fonctionnalités qui vous correspondent, comme un système de réservation compatible avec les outils que vous utilisez déjà, des modules custom, des effets visuels et graphiques particuliers, adapter le funnel de conversion, adapter votre site sur les différents devices…
C’est ça, une Agence Web proche de ses clients !

 

Découvrez l’intégralité des métiers qui composent notre équipe et nos expertises en nous suivant sur les réseaux sociaux : LinkedIn, Twitter, Facebook, Google My Business et bien évidemment, sur ce blog !

Posted by Julie Sébille

La boutique Rentable VS la Boutique « Bankable »

Dans le monde des eShops, en tant qu’Agence Web Spécialisée e-Commerce nous sommes souvent confrontés au problème du positionnement tarifaire de la boutique.

Modèle Rentable ou Modèle « Bankable » ? Quelles sont les différences et les intérêts ?

Rentable ou Bankable, 2 modèles qui s’affrontent

Disposer d’une boutique rentable, c’est à dire où le positionnement prix est suffisamment élevé pour que la marge dégagée après déduction des commissions, charges, coûts divers plus des salaires des opérateurs (Saisie commandes, picking, SAV, …) reste positive.

Ou disposer d’un boutique dite “bankable” quand cette même marge est nulle, voire négative.

Où est l’intérêt vous direz-vous ? Pourquoi cette seconde boutique serait-elle bankable ?

Une question de rapidité de croissance CA

La raison principale est évidente, en vendant à perte, le volume de vente réalisé va être plus voir beaucoup plus important qu’en vendant au prix du marché. De ce fait le CA de la boutique bankable va croître beaucoup plus rapidement que le CA de la boutique rentable.

Vous direz également que la vente à perte est interdite en France, hormis lors de soldes mais finalement est-ce que nos boutiques ne sont-elles pas que des machines à exploiter des périodes de promotions ? Il suffit de regarder la part de CA dégagée par les majors lors des : soldes, prime days, black-friday, etc … par rapport au CA total annuel.

D’autre part, comment qualifier la vente à perte lorsque le calcul de la marge réelle dépend d’un mille-feuille très complexe de commissions, charges, coûts ? Commissions de TPE en forfait ou %, coûts de transports, …

Y voir clair dans ses coûts

Chez ASDORIA nous avons développé un outil qui collecte la totalité des données de ventes, achats, gestion pour en sortir une analyse de ce millefeuille. Pour nous c’est l’outil ultime pour avoir une vision clair des coûts.

Confronté récemment à des investisseurs souhaitant entrer au capital d’exploitants de boutiques internet, le modèle bankable avec un fort CA est plus attirant, attendu et séduisant que le modèle rentable.

Une vision bipolaire

Mais comme exploitant, il faut accepter de vivre en attendant un prochain tour de table permettant de vivre une ou deux années de plus en espérant une sortie par le haut.

Cette vision bipolaire est bien évidemment à moduler en fonction de situations particulières. Nous avons notamment un client qui arrive à concilier belle croissance (de l’ordre de 45 à 50 % par an minimum) depuis 5 ans avec une belle rentabilité ! Comment ? grâce à un modèle digital ultra-optimisé qui réduit les coûts de structure.

Posted by Julie Sébille

L’intégrateur Web : De la maquette au site internet !

Il y a quelques semaines, nous avons pu interroger Teddy, notre Directeur Artistique, qui prenait parti des UX et UI (maquettages techniques et graphiques) de votre futur site internet vitrine ou e-Commerce.
Mais qu’advient-il de ces maquettes ? Qui s’occupe de transformer ces schémas colorés en page web attractives ? Pour le coup, c’est facile :  C’est l’Intégrateur Web prendra soin de faire de chacune des attentes graphiques et visuelles de votre site, une réalité (virtuelle).

Zoom sur un métier essentiel, celui qui donne vie à votre site !

Pour aborder le sujet, c’est André, l’un de nos intégrateurs qui répond à nos questions cette semaine ? :

André
Intégrateur Web

Intégrer tous les contenus de vos sites en m’assurant que le rendu soit visuellement beau et fonctionnel, voilà ma mission au sein de l’Agence.

André, comment décodes-tu le métier d’intégrateur web en 2020 ?

Comme dit précédemment, le métier d’un intégrateur consiste, en tout cas au sein de l’Agence, à retranscrire la maquette graphique du webdesigner en page internet. Pour ce faire, il nous faut un certain sens artistique, d’ailleurs, on participe souvent à l’élaboration du webdesign, tout en alliant la technicité de langages de programmation (front).

Nous bâtissons ce qui se voit à l’écran ainsi que les actions qu’offre un site internet (menu qui s’ouvre ou se ferme, des images qui défilent, la couleur de fond ou tout autre élément vu directement lors de la navigation de l’internaute). Globalement, l’intégrateur web de 2020 a le rôle de donner vie à un site internet en appliquant et en respectant la charte graphique tout en mettant en place tout ce qui rendra le site interactif !

Quelles sont tes missions au sein d’un projet ? À quel moment interviens-tu ?

La plupart du temps, j’interviens en « milieu de début de projet » jusqu’à la fin, pour m’assurer que tout ce qui se voit à l’écran est conforme et fonctionnel aux attentes du client.
Globalement, le plus important est de bien prendre en compte les besoins et les attentes du client. Le travail est « à moitié fait » une fois qu’on comprend exactement ce qu’il veut. C’est un travail en collaboration avec le DA (Directeur Artistique), le webdesigner, et le graphiste car il faudra retranscrire leur maquette. En plus de l’aspect visuel, nous intégrons les contenus du site, comme les images, les textes, les graphiques, ainsi que les fonctionnalités demandées. Un point important également : adapter le site à tous les écrans ! À l’heure où le format AMP (Mobile First) est favorisé par les moteurs de recherche comme Google, il est vraiment primordial de penser à cela ! C’est ce que l’on appelle le « responsive design ».
Nous assurons également un S.E.O (le référencement naturel) minimal, au travers des contenus textes et image. Ensuite, en fonction des projets, on peut également être appelés à installer, configurer des modules, des extensions…

L’intégrateur Web est le garant du beau et du fonctionnel d’un site.

Pour toi, l’intégrateur/trice web est plutôt technique ou créatif/ve ?

Quelle bonne question ! Je dirai les deux. Un intégrateur web doit être parfaitement organisé et respecter les normes de compatibilité entre les navigateurs et d’accessibilité par les moteurs de recherche tout en alliant un esprit créatif et technique. Il est le garant du beau et du fonctionnel d’un site internet, d’où l’importance d’avoir une certaine sensibilité à l’aspect créatif. Il faut savoir retoucher une image comme il faut être capable de coder ou de débugger des scripts.Étant ainsi dans le même temps un métier technique basé sur des connaissances spécifiques, la meilleure formation est de s’exercer sur des projets riches et variés.

Quel est ton aspect préféré du métier au sein de l’Agence ASDORIA ?

C’est évidemment lorsque le client découvre son site et qu’il est mieux que ce qu’il imaginait après avoir vu les maquettes ! Une maquette reste figée, un site peut être en mouvement avec plusieurs animations. On navigue sur un site, pas sur une maquette ! Alors, la plus grande satisfaction, c’est lorsque notre client et les personnes qui travaillent avec lui sont unanimes et apprécient le travail fourni, qui représente leur entreprise.

L’intégrateur web s’occupe de l’aspect visuel du site. Mais le développeur front-end aussi, non ?

Oui, mais il y a des différences majeures entre un intégrateur web et développeur front. Elles se trouvent essentiellement dans la technicité de leurs tâches. Un intégrateur web va jongler entre intégration de la maquette graphique, des contenus et des fonctionnalités plus ou moins standards. Le développeur front quant à lui va intégrer, développer des fonctionnalités « front » plus poussées et spécifiques au projet sur lequel il travaille. Étant donné les spécificités des sites aujourd’hui et de leur complexité, le rôle du développeur web est tout autant important que celui de l’intégrateur.

*****

À l’Agence, nos développeurs front-office, back-office, full-stack, intégrateurs web prennent soin de leur code pour s’assurer que tous les besoins techniques de votre entreprise soient retranscrits parfaitement sur votre site. La technicité de nos expertises de développement associée à des graphismes et design travaillés transmet l’expérience utilisateur la plus juste en fonction de vos cibles et vos besoins métier.

Et vous, qu’attendez-vous pour créer ou améliorer votre site vitrine ou votre boutique en ligne à l’aide d’experts du domaine ?

Posted by Julie Sébille

Pourquoi mettre en place un Système d’Information (SI) dans l’entreprise ?

Dans un monde où les entreprises utilisent de plus en plus l’outil informatique pour évoluer et gagner du temps, la gestion du S.I. (Système d’Information) n’a jamais été aussi importante.

Vous vous êtes déjà posé ces questions comme « où stocker nos données, comment les sécuriser, comment automatiser des processus, les optimiser pour permettre un meilleur rendement, comment choisir les bons serveurs ou augmenter leur temps de réponse, leur autonomie, leur capacité de charge… » ? Alors vous avez besoin d’une meilleure gestion de votre infrastruture web.

Savoir gérer, faire fonctionner correctement le Système d’Information tout en le faisant évoluer est un rôle que nous avons confié, à l’agence, à notre responsable d’infrastructure du S.I., Mathieu. Organisé, mode agile activé, il sait s’adapter aux différentes évolutions de notre agence et des demandes et besoins de nos clients pour leurs projets. Son écran est souvent rempli de symboles et de listes bizarres, son langage peut paraître parfois codé mais il résout beaucoup de problèmes techniques et surtout, il est le garant de la sécurisation de nos données, des synchronisations réseaux et serveurs. Bref le pôle Infrastructure SI fait non seulement fonctionner un tas d’informations ensemble, mais il les met aussi en sécurité.

Et qui mieux que lui pour en parler ?
Interview de notre « Monsieur Infra », comme on aime l’appeler, pour mieux comprendre les dessous organisationnels de n’importe quelle entreprise utilisant l’informatique comme outil.

Mathieu
Responsable d'infrastructure SI

Ma mission ? Faire en sorte que les utilisateurs d’Asdoria, employés ou clients externes soient satisfaits du SI !

Mathieu, peux-tu nous en dire plus sur ton champs d’actions dans le S.I. ?

Ce qui est intéressant avec ce métier, c’est que ce que l’on fait est varié et a un sens pour l’entreprise et les gens qui y travaillent. C’est un travail de l’ombre qui est essentiel pour une entreprise qui tourne bien. Il serait difficilement réalisable de faire un résumé exhaustif de toutes les tâches mais je procède à :

✔️ la mise à jour des environnements des applications (des serveurs web, bases de données…)

✔️ la création d’environnement de développement (des environnements de test pour que les développeurs puissent vérifier leur travail avant de mettre un projet en ligne), de recette et de production.

✔️ la gestion de la sécurité : c’est un point vraiment important et sensible : mettre les données, quelque soit le type de donnée en sécurité et à l’abri de potentielles mauvaises intentions !

✔️ la mise en place des outils corporatifs comme des serveurs communs pour que tous les collaborateurs puissent stocker leurs fichiers au même endroit par exemple

✔️ la gestion et le maintien de ces outils corporatifs (on utilise par exemple Mattermost, ou GitLab, il est important de savoir paramétrer et prendre soin de ces outils utilisés quotidiennement !)

✔️ la gestion des équipement locaux, comme les ordinateurs portables ou les imprimantes

✔️ au contrôle les authentifications et au cryptages de ces fameuses données et des comptes clients / et employés afin de conserver une bonne sécurisation des données au sein de l’entreprise

✔️ au sens large à l’administration système, (gestion du parc informatique client/serveur, des sauvegardes, des services (DNS, Ldap, partage de fichiers) …).

et bien évidemment à l’accompagnement des personnes qui ont besoin d’aide dans ce domaine !
Ça nous fait une belle énumération quand même, c’est fatiguant ? (rires) !

Selon toi, quelles sont les qualités principales à avoir quand on gère l’infrastructure web client ou interne ?

Et bien, dans un premier temps, la patience et la persévérance. On ne peut pas crier victoire trop vite ou baisser les bras trop tôt. Il faut aimer creuser l’information, approfondir ses connaissances, effectuer une bonne veille technologique aussi pour conserver une longueur d’avance et exploiter les meilleures technologies. Il faut aimer le challenge c’est sûr et le perfectionnisme, dans le bon sens du terme. Et puis, aimer rendre service, sans quoi notre métier n’aurait plus de sens.

Quel type de projet S.I. as-tu préféré jusque là, au sein de l’Agence ?

C’est un projet DevOps lié à l’infra ; l’automatisation du déploiement continu des applications. Mais je n’en dirai pas plus, sinon je vais rentrer dans mon jargon et je vais vous perdre ! ? Globalement, à l’agence, qui est une structure à taille humaine, on peut encore avoir une très bonne connaissance et une belle gestion du SI, ce qui n’est pas forcément le cas dans des grandes entreprises ou des grands groupes où cette branche est tellement étoffée que tout le monde n’accède pas aux même niveaux d’informations. Ici, pouvoir être autonome et faire des choix technologiques appropriés apportent une grande satisfaction, surtout quand on peut voir rapidement les résultats de ces mises en places.

*****

Ce qu’il faut retenir de notre entretien avec Mathieu, c’est qu’une infrastructure web bien gérée fait gagner un temps précieux à l’entreprise et permet une bonne gestion de ses données, une rapidité de service, et un esprit serein.

Nous avons déjà vu des clients se retrouvant dans l’impasse après la perte d’un prestataire web qui gérait intégralement leur infrastructure web. Et pour cause ! Il a failli en résulter une perte complète de leur site internet et de tous les efforts fournis.

Vous souhaitez en savoir plus sur nos méthodes de fonctionnement en ce qui concerne la gestion des Systèmes d’Informations de nos sites clients ? Nous vous avons concocté un petit article pour vous aider à y voir plus clair.

Une chose est sûre, chez Asdoria, nous prenons soin de vos données et de votre infra.

Posted by Julie Sébille

Comment fonctionnent les places de marché (Marketplaces)

11 à 20 % des ventes des PME sont générées par les places de marché. Ce n’est pas pour rien qu’à peu près la moitié des PME en France, selon la FEVAD, déclarent que les marketplaces, également connues sous le nom de places de marché, sont très importantes pour leur chiffre d’affaires. De notre côté, en tant qu’experts du e-commerce, les marketplaces nous sont familières. Elles font partie intégrante d’une stratégie de vente en ligne efficace. Mais le sont-elles pour tout le monde ?

Qu’est-ce qu’une marketplace ?

Le mot marketplace est souvent utilisé dans le milieu du web et plus précisément de l’e-commerce, mais qu’est-ce que c’est ? En bref, ce terme désigne un espace (souvent un site ou une plateforme e-commerce) qui a pour but de mettre en relation les acheteurs et les vendeurs sur Internet. On y retrouve toutes les sortes de marques, de secteurs d’activité divers et variés, qui veulent déposer leurs produits et services sur ces marketplaces. Des relais utiles pour les grandes comme les petites entreprises qui souhaitent exposer leurs produits à un grand nombre de clients. Vous avez sûrement déjà entendu parler d’Amazon, Ebay ou encore Cdiscount ? Ce sont des marketplaces.
Elles n’offrent pas les mêmes produits et services, il est vrai, mais elles ont toutes des objectifs communs, connecter acheteurs et vendeurs et fournir de grandes opportunités d’achat et de vente.

À leurs débuts, les marketplaces visaient un le secteur professionnel B2B. Elles étaient ainsi utilisées prioritairement pour répondre à des appels d’offre. Avec les avancées et la démocratisation des achats en ligne, les marketplaces sont désormais ouvertes au grand public : le Business To Business s’étend désormais aux consommateurs (BtoC) et partage également l’espace des plateformes aux particuliers, le CtoC (modèle de Vinted, par exemple.). Des relais utiles pour les grandes comme les petites entreprises qui souhaitent exposer leurs produits à un grand nombre de clients.

Aujourd’hui les marketplaces gagnent en notoriété. Il devient plus aisé pour le consommateur d’accéder directement à la plateforme pour trouver le produit/service qu’il recherche au meilleur prix plutôt que de faire d’innombrables comparatifs sur les moteurs de recherche. Le trafic étant ainsi « garanti » par les places de marché, le professionnel s’assure une visibilité et la possibilité de toucher plus facilement sa cible. À condition de respecter quelques règles.

Proposer ses produits sur les marketplaces c’est gratuit ?

Certes, les places de marchés apparaissent comme un facilitateur de mise en relation entre les consommateurs et les e-commerçants, mais est-il facile d’y proposer ses produits/services ? Les services proposés par les marketplaces sont-ils payants ? et à quel prix ? Les conditions sont-elles différentes selon les places de marché ? En bref les marketplaces comment ça fonctionne ?

Premièrement, vous devez souscrire un abonnement à la place de marché que vous souhaitez utiliser (variant d’une quarantaine à une centaine d’euros par mois).
Secundo, sur chaque vente que vous allez faire, la plateforme va vous prélever une commission. Cela dépend des places de marché, chacune fonctionne différemment. Certaines d’entre elles vont prendre des commissions fixes, qui ne changeront pas (par exemple, mano mano prend une commission de 17 % sur les ventes hors taxes, peu importe le produit vendu). D’autres, comme Amazon, vont appliquer ces taxes en fonction des typologies de produits, bricolage, jardin, etc. Vous l’aurez compris, chaque marketplace a sa manière de récupérer des commissions et leur pourcentage variera également, mais sans jamais pour autant dépasser 20 %.

Qu’est-ce que les gestionnaires de Flux e-commerce ?

La diversité des places de marché, de leurs offres, secteurs d’activité (généralistes ou spécialisés) et de leurs conditions peut dérouter un commerçant quant à son choix le plus juste pour cibler la meilleure plateforme en fonction de ses produits et de ses objectifs. C’est dans ce contexte que sont apparus les gestionnaires de flux e-commerce. Ce sont des services qui permettent d’automatiser et de simplifier ces actions. Globalement, ce sont eux qui gèrent l’envoi de vos produits, leurs suivis etc… Sur les places de marché adaptées à votre demande. Vous trouverez aisément plusieurs types de gestionnaires de flux. Chacun d’entre eux possède leurs propres particularités. Parmi eux, Shoppingfeed. Anciennement nommé ShoppingFlux, ce logiciel permet, autre que de publier vos catalogues produits sur de nombreuses places de marché, de faciliter le référencement naturel de ces derniers. Il vous donne également la possibilité d’automatiser certains processus liés à vos commandes comme les suivis de livraison, pratique non ? Bien d’autres fonctionnalités sont possibles avec ses gestionnaires, l’analyse des ventes, la gestion des stocks etc..

Renseignez-vous !

Les marketplaces les plus connues telles qu’Amazon, Ebay Back market ou encore d’autres sont souvent évoquées pour leur renommée, mais bien d’autres places de marchés se cachent derrière ces géants de l’e-commerce. Elles sont présentes pour tous les marchés, on peut y compter les marketplaces généralistes, du secteur mode et beauté, Maison et décoration, du secteur sport et beaucoup d’autres. Alors si vous souhaitez y placer vos produits, soyez attentifs, veillez à bien choisir vos produits, connaître votre concurrence et vous renseignez sur la place de marché de votre choix.
Ici, chez Asdoria, nous pouvons vous aider à choisir LA place de marché adéquat pour votre commerce. Vous avez besoin d’aide ou voulez-en savoir plus ? Alors suivez notre actualité.

Posted by Julie Sébille

eCommerce : Les Méthodes de vente et de livraison

Le eCommerce, c’est en réalité tout ce qui englobe l’écosystème de la vente digitale. Les canaux de vente sont multiples : Boutique en ligne en propre, présence sur les marketplace, social selling… Faire du eCommerce c’est savoir maîtriser tout un domaine d’actions : Création d’un site web, envoi de produits sur différentes plateformes de vente, gestion de commandes web qui affluent de toute part… Vous devez donc définir une véritable stratégie de vente digitale pour mener à bien votre business dans le digital.

Accompagné de termes qui peuvent paraître barbares et trop spécifiques, le eCommerce est pourtant en train de s’ancrer dans nos habitudes de consommation, exacerbé par la crise sanitaire de ce début d’année. C’est dans une optique de vulgarisation de ces termes que nous vous expliquons aujourd’hui, pour vous, entrepreneurs, vendeurs du web, ou simples curieux, quelles sont les méthodes de vente digitale et de livraison sur votre site et sur les places de marché.

1- Le modèle de vente digitale classique

C’est la méthode de vente et de livraison que l’on connaît tous, autant dans la vente traditionnelle que digitale  : Fournisseur / Marchand / Client final.

  1. Le Marchand commande les produits au Fournisseur.
  2. Le Fournisseur envoie les produits au Marchand.
  3. Le Marchand stocke les produits.
  4. Le Client commande les produits au Marchand.
  5. Le Marchand expédie les produits au Client.

Les +

Vous êtes maître de la chaîne de distribution du produit, de la marge à dégager, de la négociation prix d’achat des produits suivant les volumes demandés. Vous conservez les données de votre client et gérez le service après-vente. Vous êtes au coeur de la relation avec votre clientèle.

Les –

Cette méthode vous oblige à gérer des coûts de stockage, vous êtes dépendant des disponibilités produits de votre fournisseur, vous devez anticiper la saisonnalité des produits pour palier à d’éventuelles ruptures de stock.

2- Le Dropshipping

Ah ! Le Dropshipping. Le mot “à la mode”. Mais qu’est ce que c’est, au juste ? C’est la suppression du stockage dans votre chaîne de distribution, tout simplement :

  1. Le Client commande les produits au Marchand.
  2. Le Marchand commande les produits au Fournisseur.
  3. Le Fournisseur expédie directement les produits au Client.

Les +

Vous n’avez pas besoin d’espace de stockage et pouvez donc supprimer l’étape de gestion des stocks et de manutention. Vous êtes tout de même toujours en gestion du service après-vente. Le petit plus ? : le produit n’est acheminé qu’une seule fois et ne passe pas par plusieurs étapes avant d’arriver au client final.

Les –

Assurez-vous d’avoir un fournisseur fiable et sérieux pour ne pas être décrédibilisé auprès de vos clients. Attention, vous n’avez plus de frais de stockage à gérer mais ils peuvent se répercuter sur les frais de livraison de votre fournisseur.

3- Le modèle Classique de vente sur les Marketplace

*Vendu et expédié par le Marchand

Vous vendez sur votre site en propre mais vous souhaitez vendre vos produits là où vous savez que vos clients se trouvent ? Rendez-vous sur les Places de Marché, aussi appelées Marketplace, telles que Cdiscount, Rakuten, ManoMano, La Redoute, Darty, Amazon… ici la méthode et les intermédiaires se complexifient un peu :

  1. Le Marchand commande les produits au Fournisseur.
  2. Le Fournisseur envoie les produits au Marchand.
  3. Le Marchand stocke les produits.
  4. Le Client commande les produits au Marchand par l’intermédiaire de la Marketplace.
  5. Le Marchand expédie les produits au Client.

Les +

Vous bénéficiez de la notoriété de la place de marché. A savoir, les marketplace bénéficient d’un fort trafic dont vous pouvez tout à fait profiter. La place de marché n’est là, dans ce cas, que pour mettre en relation le vendeur et l’acheteur. Vous gérez donc l’envoi, et le suivi après-vente de votre commande.

Les –

Cette présence ne s’avère pas gratuite. Vous devez, en plus d’un abonnement mensuel fournir des commissions sur vos ventes à la marketplace. Vous subissez également leur diktat des prix bien souvent tirés vers le bas. Vous ne conservez pas les données de vos clients, ce qui implique une gestion de votre CRM compliquée.

4- Le modèle Marketplace + Dropshipping

*Vendu et expédié par le Marchand

Nous préférons vous prévenir, tous les prochains modèles seront développés avec les marketplace comme ingrédient principal. Ces plateformes vous permettent de plus en plus de pouvoir vendre et expédier de manière flexible en terme de méthodologie. Ici, les modèles 2 et 3 se mélangent :

  1. Le Client commande les produits au Marchand par l’intermédiaire de la Marketplace.
  2. Le Marchand commande les produits au Fournisseur.
  3. Le Fournisseur envoie les produits au Client.

Les +

Vous n’avez pas besoin d’espace de stockage et pouvez donc supprimer l’étape de gestion des stocks. Vous êtes tout de même toujours en gestion du service après-vente. Le petit plus : le produit n’est acheminé qu’une seule fois et ne passe pas par plusieurs étapes avant d’arriver au client final.

Les –

En plus des aspects présentés dans le modèle précédent, assurez-vous d’avoir un fournisseur fiable et sérieux pour ne pas être décrédibilisé auprès de vos clients. Attention, vous n’avez plus de frais de stockage à gérer mais ils peuvent se répercuter sur les frais de livraison de votre fournisseur.

5- Le modèle Marketplace Fulfillment

*Vendu par le Marchand, expédié par la Marketplace

Vous avez une stratégie de déploiement bien ficelée ? Vous savez quels produits fonctionnent le mieux suivant les différents canaux de vente utilisés ? Profitez du fulfillment sur les places de marché ! Vous êtes bien présenté comme le vendeur du produit, mais il est expédié par la marketplace. Les clients qui achètent vos produits en fulfillment bénéficient des avantages proposés par la Marketplace pour la livraison du produit (Amazon Prime ou Cdiscount à volonté, par exemple).

  1. Le Marchand commande les produits au Fournisseur.
  2. Le Fournisseur envoie les produits au Marchand.
  3. Le Marchand stocke les produits.
  4. Le Marchand envoie les produits à la Marketplace.
  5. La Marketplace stocke les produits.
  6. Le Client commande les produits au Marchand par l’intermédiaire de la Marketplace.
  7. Le Marketplace expédie les produits au Client.

Les +

Le client final a accès au service premium de la marketplace (type « livraison offerte), et vous êtes affiché en tant que vendeur premium. Vous avez donc plus de chance d’accéder à la buy box (cette fameuse « boîte d’achat » tant convoitée et qui vous met en avant en facilitant la prise de commande au client). Plus de chance, donc, d’être visible par vos clients, la possibilité d’avoir moins de commissions à reverser. Vous ne gérez plus les éventuels problèmes de livraison vis à vis du client final : la Marketplace s’en occupe.

Les –

La Marketplace prélève toujours des commissions sur vos ventes, en plus d’un abonnement mensuel. A cela s’ajoutent des frais de stockage et de préparation de colis, sans compter le fait que vos produits vont subir à minima trois voyages avant d’arriver au client final. Les normes d’envoi des palettes de produits sont contraignantes, et les marketplace sont intransigeantes sur la qualité de l’empaquetage, sous peine de refuser vos palettes. Soyez irréprochables.

6- Le modèle Marketplace Fulfillment + Dropshipping

*Vendu par Marchand, expédié par Marketplace

A ce stade, en général, vous avez déjà derrière vous quelques années d’expérience dans la vente en ligne et connaissez parfaitement vos produits phares. Avec cette méthode de vente, vous ne gérez plus que les produits qui vous intéressent sans avoir à gérer leur stock ! Vendre sur les marketplace en utilisant le système de fulfillment et dropshipping signifie que ce sont votre fournisseur et la marketplace qui gèrent la distribution de votre produit.

  1. Le Marchand commande les produits au Fournisseur.
  2. Le Fournisseur envoie les produits à la Marketplace.
  3. La Marketplace stocke les produits.
  4. Le Client commande les produits au Marchand par l’intermédiaire de la Marketplace.
  5. Le Marketplace expédie les produits au Client.

Les +

Vous bénéficiez d’un coût de transport en moins (voir zéro avec les conditions franco de port). Vous n’avez pas de coût de stockage en interne mais attention il est reporté sur la marketplace qui elle, stocke vos produits expédiés par palettes. Vous avez l’avantage de ne pas avoir à faire les préparations de colis & palettes. Enfin, point non négligeable, la Marketplace gère également tous les problèmes concernant le transport de vos produits jusqu’au client final.

Les –

Attention, cette méthode demande une excellente coordination avec votre fournisseur : Les normes d’envoi de palettes étant contraignantes et n’ayant aucun moyen de vérification du travail de votre fournisseur, il vous faut une réelle relation de confiance pour mener à bien ce fulfillment + dropshipping avec les marketplaces.

Évidemment, il existe d’autres moyens pour vendre en ligne ! Aujourd’hui, les possibilités se développent de plus en plus.
Un point volontairement omis, qui fera sujet d’un autre article très prochainement : la vente sur les marketplace en tant que « vendor ». Vous devenez fournisseur de la Marketplace, qui s’approprie le produit et la fiche produit, pour le vendre en son nom. C’est une méthode qui se situe encore un cran plus haut par rapport à ces 6 derniers modèles présentés.

Ca tombe bien, chez Asdoria, le eCommerce c’est notre spécialité. Habitués aux différents modes de vente, nous avons appris à nos clients, en fonction de leur stratégie à utiliser ces différents moyens pour faire augmenter leur CA, leur notoriété, leur ROI… Tout un art ?.

Posted by Julie Sébille

Sylius, la star montante du e-Commerce

Il est loin, le temps où l’on vous dressait le comparatif d’un Woocommerce VS un Prestashop ! Aujourd’hui, ce bon vieux Prestashop, utilisé et réutilisé va se voir placé en concurrence avec la star montante du moment : SYLIUS.

Vous en avez déjà entendu parler ?

Sylius, qui es-tu ?

Bien que Sylius commence à faire du bruit depuis quelques années, il est bon de savoir que le projet existe depuis 2010. Au passage, Sylius est une surcouche du framework Symfony, né en 2005.

Pourquoi n’en entendre parler que maintenant ? Car à l’inverse de ses consoeurs, Sylius a passé énormément de temps en R&D afin de proposer un outil stable, fiable et utile dès sa sortie.

A la base bien plus utilisé par les initiés que le grand public, Sylius connaît une première version stable en 2017. C’est là que tout s’accélère. Les développeurs qui l’utilisaient déjà découvrent une version bien plus élaborée qui promet encore plus de grands projets de développement web. Une réussite.

La valeur ajoutée de Sylius : Sa polyvalence

Alors, qu’est ce que cette solution a-t-elle de plus que ses homologues tels que Prestashop, étant déjà sur le marché depuis des années ?

Une polyvalence à toute épreuve.

Sylius vous permet si bien de créer un eCommerce de petite envergure qu’un eCommerce aux ambitions démesurées.

Là où un Prestashop verra des limites passé 5.000 commandes par mois, Sylius ne vacillera même pas à la 10.000ème commande mensuelle.

Une infinité de possibilités

Le plus ? Vous pouvez développer avec cette même solution votre propre Product Information Manager, automatiser le traitement de vos commandes, et développer un front-office qui colle parfaitement à l’image que vous aviez en tête.
Les fonctionnalités et développements étant créés sur une même base de code, les briques qui composent Sylius s’assemblent toutes à merveille. Pas de risque de mettre en péril la stabilité de votre code au moindre ajout de fonctionnalité.

Il ne faut pas négliger la capacité de Prestashop de comprendre une multitude de possibilités d’ajouts et de développements grâce à ses add-on spécifiques sur à peu près tous les domaines.
Cependant, c’est cette même capacité à pouvoir gérer tous ces aspects qui a la fâcheuse tendance de le rendre bien trop souvent instable.

Sylius : des bases solides

Sylius, cette surcouche eCommerce basée sur SYMFONY a la grande qualité d’avoir des bases solides. Grâces à elles, Sylius répond aussi bien que Prestashop à toutes vos demandes (gestion des langues, des catégories de produits, attributs et variantes de produits… tous les besoins nécessaires pour gérer votre eCommerce) sans risquer de mettre en péril les fondements du fonctionnement de votre boutique.

C’est cette qualité de code et cette énorme communauté de développeurs qui permet à Sylius d’être une solution maintenable et qui se met facilement à jour sans corrompre les versions précédentes (contrairement à la plupart de ses concurrents…).

La solution tech développée PAR et POUR les développeurs

Il peut également supporter de grosses charges car il bénéficie d’une qualité assez exceptionnelle : Sylius a été développé PAR les développeurs POUR les développeurs. Il est donc “malaxable” afin de façonner votre solution Sylius selon vos intérêts, à l’inverse d’un Prestashop plutôt pensé pour être utilisé presque immédiatement mais qui n’est pas prévu pour supporter de nombreuses modifications.

Attention, Sylius bénéficie d’une excellente technicité. L’avantage est que pour un eCommerce relativement simple et classique, il est tout à fait possible d’utiliser des plugins créés ou propulsés par Sylius. Cependant, pour des développement spécifiques, il vous faudra avoir affaire à des développeurs ayant de bonnes connaissances PHP Symfony pour pouvoir exploiter toutes ses possibilités même sur des ponts avancés.

Vous pourrez ainsi facilement installer une toute petite boutique, tout comme vous pourrez développer facilement une véritable machine de eCommerce à des envergures bien plus “folles”.

Un système de briques qui s’emboîtent parfaitement

Revenons à ce que l’on aime le plus chez Sylius :
Sa polyvalence, son code propre et épuré, ses possibilités de rétrocompatibilité, son système de briques permettant de développer des outils puissants. Enfin, son adaptabilité pour s’intégrer à tous les systèmes d’infos externes relatifs au commerce en ligne tels que votre ERP, votre PIM, ou votre CRM…

Si l’on éclate Sylius en un schéma simple, on pourrait le représenter sous forme de briques. Il possède donc une brique produit, une brique gestion utilisateur, etc. Chacune de ces briques peut ainsi s’utiliser indépendamment.

C’est donc la porte ouverte pour pouvoir développer non seulement votre solution eCommerce mais toute la stratosphère qui gravite autour de votre domaine d’activité !
Gestion de contenu CMS, Administration des ventes… vous pouvez, avec quelques développeurs aguerris développer l’ensemble de vos besoins eCommerce selon votre propre cahier des charges sans avoir à passer par une solution prédéfinie avec ses qualités mais également ses défauts.

Sylius en bref :

Ce qu’il faut retenir de cette solution :

Bien plus qu’une nouvelle corde à notre arc

Passionnés de nouvelles technologies et méthodes de développement web, l’arrivée de Sylius ne nous a pas laissés de marbre. Nous avons appris à maîtriser ses codes et avons découvert avec passion et enthousiasme l’intégralité des possibilités que cette solution pouvait offrir pour les projets de nos clients.

Pour Asdoria, Sylius est définitivement la star montante du système eCommerce, l’allié de taille pour faire de votre projet web une belle réussite : Des développeurs qui maîtrisent Symfony réalisent un projet en un temps de conception beaucoup plus court ! Ce qui, in fine, conclu à une maintenance et un temps de développement beaucoup moins coûteux qu’un projet développé sous un outil standard.

Une solution, qui a tout pour plaire, que ce soit du côté tech que du côté clientèle !

Posted by Julie Sébille

Webdesign et Expérience Utilisateur : joindre l’utile à l’agréable

« Nous voulons un site attractif, beau, qui nous plaise et qui plaise également aux personnes qui vont se rendre sur notre site. »

Voici l’une des réponses les plus fréquentes lorsque nous demandons à nos clients s’ils ont déjà une idée de l’apparence de leur site « idéal ». Et s’en suit en général une petite sélection de sites qui plaisent.

Cela nous donne effectivement une idée des goûts du client. Ce qui est important. Mais ce qu’il ignore la plupart du temps, c’est que vont s’ajouter à cet aspect une multitude de critères et d’éléments qui façonneront la manière dont le site sera présenté et traduit de manière graphique.

Pour parler webdesign, Teddy, le Directeur Artistique d’Asdoria est toujours de bonne humeur. Voici dans cette interview comment mieux comprendre les facettes et l’impact du webdesign, incluant le graphisme, les UX, les UI et le rôle de Directeur Artistique au sein d’un projet !

Teddy T.
Directeur Artistique chez Asdoria

Mon rôle ? Définir la direction artistique et les concepts graphiques de tous les projets multimédias.

Peux-tu expliquer plus précisément en quoi consiste ton rôle de Directeur Artistique (DA) au sein d’un projet ?

– C’est très simple : ma mission lors d’un projet consiste à concevoir la charte graphique et le concept graphique en adéquation avec la demande client et son positionnement marketing. Le webdesign, c’est bien plus qu’un simple choix de couleurs ou de formes. Ici la conception graphique intervient tout au long de la chaîne de production et de suivi d’un projet.

Lorsque le client demande un site « moderne », « fun », ou « graphiquement beau », comment l’interprètes-tu en webdesign ?

– Le plus important, c’est de bien définir sa vision du « moderne », du « fun » ou du « beau ». Force est de constater que nous n’avons pas tous les mêmes goûts ! Souvent, on voit des clients qui ne connaissent pas du tout le domaine du webdesign, et c’est bien normal, ce n’est pas leur corps de métier. Certains aiment des choses qui sont déjà “has been” par exemple. Difficile de leur expliquer ! Mais avec des exemples webdesigns concrets, ils voient vite la différence, et c’est ça qui est agréable dans ce métier ! Apporter de la fraîcheur là où les personnes n’en voient pas l’utilité alors que cela nuit à leur image car elle ne correspond pas ou plus du tout à leur vision marketing.

Quelle est la différence entre le graphisme et le design ?

– Pour faire (très) bref, le design correspond plus à un aspect généraliste et esthétique. Le graphisme peut toucher à une partie d’un site (fond, bannière, slider, logo,…), c’est plus précis.

Et l’UX et l’UI dans tout cela ?

– On touche là à des points essentiels lors du développement d’un projet ! On pourrait en parler pendant des heures. Mais en règle générale, l’UX (User Experience) tient une part très importante car c’est cette partie qui traduit la vision marketing du Business Analyst / Chef de Projet selon les besoins du client. En collaboration avec le Directeur Artistique ou le Webdesigner, le Business Analyst matérialise les chemins de navigation, la pertinence de l’expérience utilisateur, et forcément prend un risque car c’est lui qui fait un choix sur le pourcentage de conversion du projet. C’est une phase très importante qu’on ne peut confier à une seule personne. Il y a du marketing dedans, de la stratégie, du ROI, du webdesign, de l’ergonomie… On construit le squelette entier du site web.

L’UI, c’est la mise en forme graphique de tout cela, avec les tendances actuelles de formalisation des modules, des fonctionnalités… en y ajoutant la direction artistique (le design). L’UI, c’est le Webdesign, la User Interface. En tant que DA, je peux échanger en amont avec le BA afin d’aider à la pertinence des UX, car je sais déjà l’implication que cela aura sur le webdesign UI ; si les blocs placés dans l’UX sont à la bonne place, si ce n’est pas obsolète,… Ce n’est qu’à la lecture des UX que je commence réellement le travail de bench et les travaux préparatoires d’étude et de réflexion afin de créer des UI tendances, impactant et correspondant à l’expression des besoins.

Comment vient l’inspiration et la créativité dans ton métier ?

– Pour moi, il est important d’avoir une bonne culture graphique assez générale (vers d’autres corps de métiers aussi, comme l’architecture ou la mode) et d’avoir une pratique d’un art graphique ainsi qu’une connaissance des métiers du multimédia pour pouvoir travailler sa créativité et rester au courant des dernières nouveautés artistiques, des nouveaux usages, des nouvelles habitudes. Cela demande beaucoup de veille, de bench, pour pouvoir s’inspirer et rester au top des tendances.

Le webdesign, c’est du visuel, mais également le fruit d’une réflexion. On ne peut pas s’arrêter à du « beau » ou copier coller la forme d’un site qu’on aime. C’est un métier à part entière !

Chez Asdoria, il nous tient à cœur de travailler chaque projet client de manière unique. Parce que chaque entreprise à des valeurs différentes à communiquer, une image de marque à contrôler, une identité graphique à respecter. Vous avez besoin de conseils quant à l’image de votre site, de remodeler de votre webdesign pour une image plus professionnelle ? Chez Asdoria, nous avons les compétences qu’il vous faut !

Pour connaître l’intégralité des métiers qui font la richesse technique de l’Agence, restez connectés ! (Alerte spoil, nous vous parlerons très prochainement d’infrastructure web…) Stay tuned !

Posted by Julie Sébille

Bouleversement des comportements d’achat : le eCommerce, l’habitude numéro un de demain ?

Corps médical, commerce, citoyens : la crise transforme l’état d’esprit général.

Cette situation exceptionnelle oblige à penser autrement.

Qui n’a pas vu l’afflux de publications sur les réseaux sociaux parlant de retour au sources, de retrouver du temps considéré comme perdu, de se recentrer sur les personnes que l’on aime.

Mais qui n’a pas vu également les messages de détresse des commerçants ayant dû fermer, s’inquiétant du manque à gagner et des conséquences post-covid-19. Des commerçants à l’arrêt, qui ont peur pour leur économie et l’économie générale malgré les promesses de l’Etat.

Économie : Alors que le commerce traditionnel souffre, le eCommerce explose.

En parallèle une autre information fait surface : la constatation de la hausse incroyable de l’utilisation de la vente en ligne. Ce eCommerce, longtemps décrié car il tuait des emplois et réduisait drastiquement les relations humaines, est aujourd’hui vu comme salvateur pour les entreprises, un maintien de l’activité commerciale et donc, des sociétés qui l’utilisent. En trois jours seulement, il bat des records. Ironie du sort ? Ce changement soudain s’explique pourtant facilement : En pratique, la population Française (ainsi que de nombreux pays européens) est cloîtrée chez elle à cause du coronavirus. Son seul contact avec le monde extérieur ? Internet. Les opérateurs se retrouvent également face à une hausse d’utilisation si énorme qu’ils travaillent d’arrache-pied pour éviter une coupure partielle de leur système.

Outre les divertissements en tout genre et une connexion avec les informations en temps réel dans le monde entier 24h/24, ce World Wide Web permet aux citoyens d’acheter. Ces acheteurs se fournissent sur les grandes plateformes, telles qu’Amazon, ayant dû embaucher en urgence environ 100.000 personnes pour continuer de fonctionner normalement, et augmenter la paie de ses salariés pour les récompenser de cet effort considérable demandé par la crise actuelle. Mais les plus petites boutiques de vente en ligne sont également impactées. De l’alimentaire, à des produits spécifiques, ou bien de permettre aux entreprises qui fonctionnent encore de continuer à tourner : approvisionnement, fourniture, gestion des stocks etc. Les enjeux du BtoB comme du BtoC se retrouvent propulsés en première ligne.

« Tant que les sociétés de livraison continuent de livrer la marchandise à nos clients, nous pouvons tout à fait continuer de proposer nos produits à la vente en ligne. » souligne Laurent, CEO de l’entreprise TECPLAST, fabricant et Importateur de bâches et sacs à Challes les Eaux et fournissant plus de 50.000 clients dont 6000 professionnels. Grâce au stock achetable directement en ligne, les magasins peuvent continuer à générer du chiffre d’affaire en limitant les contacts humains comme demandé pour ces prochaines semaines.

Une égalité entre les entreprises avec le eCommerce ?

S’en sort alors une interrogation valable : certains disent que les géants du web s’en frottent les mains au profit des commerçants de quartier qui ne se relèveront jamais de cette crise. Quid ?
Mais il n’y a pas QUE les géants du web qui vivent sur internet ! Le eCommerce est présent dans de nombreuses boutiques, même des boutiques de proximité. Notons la plupart des magasins de proximité bio par exemple, qui vous permettent de faire vos courses en ligne, certaines boulangeries qui vous proposent de réserver votre pain derrière un écran afin de ne pas dévaliser les étales en achetant 30 baguettes d’un coup et en créant une pénurie pour les clients derrière vous. Bref, le eCommerce est accessible pour TOUS les commerçants, à condition d’être quelque peu organisé.

Un changement de comportement profond pour l’après-crise Covid-19 ?

Si le système reste fragile étant donné cette situation soudaine à laquelle personne n’était préparé, ce modèle de vente est le seul qui fonctionne encore presque normalement. Ce qui soulève une interrogation : comment cela fonctionne-t-il ? Cette crise sanitaire va-t-elle profondément changé les comportements d’achat et permettre de favoriser définitivement le eCommerce par rapport au commerce traditionnel ? L’après crise sera t elle décisive concernant les comportements d’achats des citoyens ?

Certaines entreprises, momentanément à l’arrêt ou particulièrement au ralenti, affaiblies par cette crise, se voient déjà créer une présence future sur le Web :

“On ne sait pas de quoi sera fait demain, il faut savoir s’adapter vite, avec son temps et les comportements d’achat actuels et futurs de ses clients. En tant qu’ indépendants, si nous voulons survivre, nous devons nous adapter, pas le choix. C’est sûr, en ces temps de crise, les gens ne devraient commander en ligne que ce dont ils ont réellement besoin, car ils exposent les livreurs et les préparateurs de leur colis. Mais pour l’après, ils garderont peut être cette nouvelle habitude de passer directement par internet… C’est pour ça que l’on s’est dit qu’il serait peut être bien d’avoir un site.” confie Brigitte, gérante d’une boutique de proximité à Annecy-le-vieux.

Vendre en ligne, en pratique, qu’est ce que cela implique ?

En tant qu’Agence Web, nous avons eu, ces derniers jours, beaucoup de demandes concernant l’élaboration d’un site eCommerce, comment cela se passe-t-il, combien cela peut-il coûter, quelle organisation au sein de la société cela demande-t-il…
Nous répondons bien évidemment à toutes vos questions, pour tout type d’entreprise. Vous pouvez nous écrire à l’adresse contact@asdoria.com. Mais nous avons également, depuis toujours, une page qui serait aussi susceptible de répondre à quelques unes de vos questions concernant le eCommerce, c’est pourquoi, nous vous invitons aujourd’hui à la lire, si elle peut vous rendre service et élucider quelques-unes de vos interrogations.

Que ce soit pour de simples demandes, des conseils, toute l’équipe est encore opérationnelle, mais depuis la maison. Vous pouvez nous contacter via le mail ci-dessus, ou bien sur les réseaux. Nous continuons également, pour nos clients actuels de maintenir à jour vos bases de données, d’entretenir vos sites en gérant la maintenance normalement.

Prenez soin de vous, et restez chez vous.

Posted by Julie Sébille